La liste « Ensemble et autrement avec Séverine Félix-Boron » s’adresse à vous
La vie démocratique entame son déconfinement.
A cette occasion, la liste « Ensemble et autrement avec Séverine Félix-Boron » s’adresse à vous.
La vie démocratique entame son déconfinement.
A cette occasion, la liste « Ensemble et autrement avec Séverine Félix-Boron » s’adresse à vous.
Dans toute période de crise, la démocratie est souvent bien malmenée. La crise sanitaire exceptionnelle que nous connaissons n’échappe pas à cette règle.
Pourtant cette fois, de nouvelles données permettaient à ceux qui le souhaitaient vraiment de ne pas confiner la vie démocratique. Malgré les contraintes, certains décideurs ont activé les moyens mis à disposition pour garder une vie démocratique locale active. Mais d’autres, à Saint-Fargeau-Ponthierry, ont profité du contexte pour la bâillonner.
En raison de sa soudaineté et de sa complexité, la crise sanitaire nécessitait une gestion collective la plus large possible. Mais à Saint-Fargeau-Ponthierry, le maire a rejeté la proposition des élus d’opposition de s’associer à la cellule de crise.
Le Premier ministre a demandé, en référence à la loi du 23 mars instaurant l’état d’urgence sanitaire, que les consignes liées au report du second tour des élections municipales soient diffusées à l’ensemble des élus et des candidats. Mais à Saint-Fargeau-Ponthierry, aucune transmission n’a été faite.
Le gouvernement a imposé aux maires d’informer les conseillers municipaux des décisions qu’il prenait durant cette période (ordonnance du 1er avril). Mais à Saint-Fargeau-Ponthierry, jamais la moindre information n’a été fournie.
Des Féréopontains inquiets réagissent à l’inertie municipale. Faute d’obtenir les moindres réponses à leurs questions, ils ont lancé une pétition pour réaffirmer leurs attentes. C’est le cas notamment de celle initiée avec le retour des inondations que la commune a connu en avril. Depuis les inondations exceptionnelles de 2016, cette question ne connaît aucune avancée significative en termes de prévention.
Les élus d’opposition font valoir leur droit pour obliger la tenue d’un conseil municipal. Il se tiendra le jeudi 4 juin.
Les associations dédiées à la vie citoyenne comme RPA lancent un questionnaire auprès des Féréopontains afin que chacun profite de l’occasion de ce conseil municipal pour obtenir les réponses à ses questions.
Après une suspension bien normale, les candidats aux élections municipales relancent la campagne électorale. Ils pourront communiquer aux Féréopontains toutes les informations nécessaires pour faire leur choix lors du second tour, prévu normalement le 28 juin.
Depuis six ans, la vie démocratique a été bien malmenée. Elle doit reprendre pleinement ses droits petit à petit sous l’impulsion de citoyens actifs et déterminés, refusant le déterminisme qui arrange bien les décideurs locaux.
A relire :
Les élus d’opposition du groupe Transition viennent d’obtenir la tenue d’un conseil municipal début juin afin que soient rendues de façon totalement transparentes les décisions prises par le maire. La loi du 1er avril a renforcé les pouvoirs des exécutifs locaux, autorisant les maires à prendre les mesures nécessaires pendant la crise sanitaire.
Mais une contrepartie est imposée à cette extension de pouvoir pendant la crise : que le maire rende compte régulièrement de ses décisions à tous les élus du conseil municipal dont les mandats ont été prolongés jusqu’aux résultats du deuxième tour des élections municipales.
Alors que la dépense publique de la ville s’accélère, que des marchés sont passés et que de nouveaux permis de construire s’affichent à Saint-Fargeau-Ponthierry, jamais la moindre information n’a été fournie aux élus de l’opposition. C’est pourtant ce qui se pratique dans la plupart des communes et notamment à l’agglomération melunaise.
La loi permet que, lorsque plus de 20% des conseillers municipaux demandent la convocation d’un conseil municipal, celui-ci devient obligatoire. Les sept élus du groupe Transition ont donc fait cette demande. Compte tenu des difficultés du moment, ils ont toutefois laissé au maire un délai d’un mois pour l’organiser, là où la loi obligerait sa mise en place sous six jours.
La loi doit être respectée. La municipalité doit rendre compte et informer de façon transparente des décisions prises.
Les élus du groupe Transition avaient demandé que la date et l’heure de ce conseil municipal soient décidés en commun avec l’ensemble des élus. Ils demandaient également que l’ordre du jour soit décidé de façon partagée et concertée.
Ces demandes ont été vaines. Après une première date fixée arbitrairement au 2 juin, le conseil municipal se tiendra finalement le jeudi 4 juin à 18h30 en mairie. Seul point positif : comme les élus d’opposition l’ont demandé, une retransmission en direct du conseil aura lieu afin que chacun puisse suivre les débats.
Mais ils ne pourront pas poser de questions en fin de séance.
RPA propose donc à l’ensemble des habitants qui le désirent de faire parvenir les questions qu’ils souhaitent voir poser au maire ou aux élus présents.
Ces questions seront confiées aux élus du groupe Transition qui se feront ce jour-là le relais des demandes de l’ensemble des Féréopontains.
Pour nous faire part de vos interrogations, vous pouvez :
Jamais un tel chamboulement des situations n’aura enclenché autant de solidarités, notamment vis-à-vis de celles et ceux qui sont aux avant-postes, de celles et ceux qui assurent le maintien du service public, mais aussi en direction des plus fragiles socialement et économiquement qui sont encore plus déstabilisés par ce contexte.
Jamais une telle crise n’aura nécessité autant de mutualisation des forces, des connaissances et des réflexions de chacun au service d’une véritable intelligence collective pour arriver à faire face à cette crise sanitaire inédite et à la vaincre.
Mais pourquoi ce travail collectif dépassant tous les clivages, qui n’ont pas leur place dans cette situation, n’est-il pas possible à Saint-Fargeau-Ponthierry ?
Le 16 mars, le président de la République annonçait la mise en place du confinement. Quelques jours après, les élus d’opposition du groupe Transition ont proposé au maire de s’associer à la cellule de crise mise sur pied et de participer à la cogestion de la période qui s’ouvrait. Certains élus se sont inscrits sur la plateforme de solidarité. D’autres ont pris ciseaux et aiguilles, ou ont mobilisé leurs relations pour réaliser des masques dans le cadre de l’opération « Masqu’et vous » en demandant simplement de pouvoir être associés aux conditions de distribution.
Mais courrier de fin de non-recevoir, absence de sollicitation sur la plateforme, non prise en compte des propositions, ont été les seules réponses obtenues du maire. Un maire qui prétend tout faire seul, tout réaliser et communique toujours tout en son nom seul. Mais un maire qui oublie simplement de respecter les dispositions de base de la loi définie spécialement par le gouvernement dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire. Parmi ces mesures figure notamment celle qui, pour garantir la démocratie, l’oblige de rendre compte des décisions de la municipalité, en contrepartie de l’élargissement des pouvoirs des maires.
Pour avoir les réponses aux questions que tout le monde se pose, et pour faire entendre des propositions et des besoins essentiels, les élus d’opposition ont donc demandé la convocation, sous un délai d’un mois, d’un conseil municipal dédié spécialement à la crise sanitaire. Ce conseil se tiendrait sous forme dématérialisée, comme les nouvelles dispositions le permettent, afin de ne pas faire prendre de risque à qui que ce soit.
Les Féréopontains ont le droit de poser toutes les questions qu’ils veulent. Ils sont en droit de ne pas se contenter de la propagande officielle.
En attendant que la date soit donnée, RPA va lancer un grand questionnaire auprès de la population. Les élus du groupe Transition se feront les relais des interrogations des Féréopontains lors de ce conseil municipal. La séance devra, par ailleurs, être accessible publiquement à distance.
Dès la première semaine de confinement, les élus d’opposition du groupe Transition ont proposé leurs services pour participer à la cellule de crise mise en place pour lutter contre la propagation du coronavirus.
Le maire a refusé. Une occasion manquée de faire valoir l’union nécessaire à l’heure d’une crise sanitaire sans précédent.
Nous publions ici la lettre adressée au maire par le groupe Transition.
Saint-Fargeau-Ponthierry, Vendredi 20 mars 2020
Monsieur le maire,
Nous tenons à vous confirmer que les élus du groupe Transition se positionnent dans un souhait d’Union Nationale. Les élections municipales ne peuvent plus être prioritaires, même si l’on ne peut effacer les résultats de dimanche dernier.
Le groupe Transition et la liste qui en émane tiennent à affirmer leur solidarité sur toutes mesures prises pour accompagner la crise sanitaire. Notre groupe et la liste Ensemble et Autrement se mobilisent et souhaitent être à la fois acteurs et forces de propositions dans ce contexte particulièrement complexe à gérer.
Aussi nous sommes étonnés de ne pas avoir été sollicités pour participer à la cellule de crise que vous avez mise en place. Nous vous proposons donc que nous y participions dans une configuration respectueuse d’un confinement qui s’impose à tous.
S’il ne s’agit surtout pas ici de critiquer ou de remettre en cause les mesures que vous avez pu prendre, relayant en cela les directives gouvernementales. D’autres initiatives pourraient être enclenchées pour accompagner les Féréopontains. Nous attendons votre réponse sur cette proposition de cogérer cette crise ensemble et sous votre autorité.
D’autre part depuis les dernières démissions annoncées de vos colistiers (le nombre de démissions dépassant le tiers du conseil municipal et sans réserve d’élus), mais aussi depuis les résultats du premier tour des élections municipales, on peut considérer qu’il y a une réelle fragilité de la gouvernance actuelle. Cela justifierait la mise en place d’une gestion partagée durant cette période, donnant une véritable légitimité aux actions engagées durant les mois à venir.
Elus représentant près de la moitié de la population, ce qui a été confirmé ce dimanche auprès des électeurs qui se sont manifestés, nous vous proposons dans le même esprit d’Union Nationale qui nous anime, d’être associé à la gestion de la collectivité et ce jusqu’au second tour des élections municipales. Aussi, nous vous formulons 6 actions que nous vous demanderions de mettre en œuvre le plus rapidement possible :
– Une intervention de votre part auprès du conseil départemental pour suspendre toute avancée du chantier du nouveau collège.
– Un net ralentissement du rythme des autorisations de tous les permis de construire concernant des programmes collectifs, plus personne ne pouvant avoir connaissance des projets via les panneaux d’affichage. Ceux-ci en effet sont rendus inaccessibles par le contexte de confinement.
– Une suspension de tous les dossiers d’urbanisme contestés juridiquement par des particuliers ou des associations notamment.
– Engager les démarches pour embaucher rapidement des assistants ou secrétaires médicaux, des infirmier(e)s permettant d’accompagner les médecins publics ou privés pour les soulager d’un certain nombre de tâches. C’est une mesure urgente qui permettrait aux médecins surchargés de mieux se consacrer à leurs malades.
– Nous communiquer les éléments budgétaires 2020 que vous avez envisagés mais que vous n’avez pas souhaité présenter au dernier conseil municipal. Cela permettrait d’anticiper sur un vote tardif du budget, alors qu’il ne restera plus qu’une demi-année à gérer.
– L’arrêt de toute communication publique par voie d’affichage ou autres moyens sur tout autre sujet qui ne concernerait pas la gestion de la crise sanitaire.
A situation exceptionnelle, réponses exceptionnelles.
Nous sommes convaincus que nos administrés, toutes sensibilités confondues, apprécieraient que vous puissiez accepter nos propositions et notamment:
* Une cogestion de la crise sanitaire par le conseil municipal, toutes tendances confondues.
* Une co-gouvernance par le conseil municipal dans sa globalité, des affaires de la commune et ce en attente de l’organisation du second tour des élections municipales.
Dans l’attente de votre réponse à ces propositions constructives, qui nous apparaissent conformes aux attentes de nos administrés, recevez nos salutations républicaines.
Les élus du groupe Transition
Lionel Walker – Séverine Félix-Boron – Jeannine Jouanin – Denis Puglièse Véronique Giannotti – Philippe Boury – Zine-Eddine Mjati
« Je m’étais engagé à être un maire capable de battre de nombreux records. Jugez par vous-même sur les cinq premiers ! »
« J’ai initié le principe des Fake News (fausses nouvelles). Cela marche tellement bien que j’en ai fait une base de ma gouvernance. Pour exemple, j’ai fait croire dès 2014 que la ville était en faillite et sous tutelle. C’était faux ! J’ai affirmé que l’ancienne municipalité voulait faire une tour de 17 étages en bord de Seine. Pourtant, tous les projets proposés sur ce secteur avaient été rejetés. Je le savais : un nouvel appel d’offre avait été lancé lors du conseil municipal du 13 novembre 2013. Mais tout le monde m’a cru. Du jamais vu à Saint-Fargeau-Ponthierry ! »
« Le mensonge a aussi fait partie de mes outils pour gouverner. Il existait par exemple, depuis des années, un évènement culturel annuel « Une commune – Un art ». Ce rendez-vous rassemblait tous les artistes locaux et des environs. Lors de l’édition 2015, j’ai annoncé publiquement que je garderai ce grand temps de la vie culturelle de la commune, mais que tous les deux ans. A l’édition suivante, je me suis arrangé pour en réduire la voilure. Son maintien ne se justifiant plus, sa disparition définitive a pu être actée. Du jamais vu à Saint-Fargeau-Ponthierry ! »
« Elus en 2014 avec 300 voix d’avance, nous avons pu avoir 26 élus sur 33. Mais avec les nombreuses démissions qui ont émaillé ce mandat, le risque d’élections anticipées nous pendait au nez. Aussi, j’ai nommé un élu qui ne siégerait jamais et que personne ne verrait jamais en mairie. Pour cela, j’ai fait voter en conseil municipal une augmentation de 40% des indemnités des élus, par rapport à l’ancienne municipalité. Du jamais vu à Saint-Fargeau-Ponthierry ! »
« Jamais il n’y a eu autant de départs, de burn-out, ou de congés de maladie. Ma grande fierté est même d’avoir usé cinq directeurs des services techniques en un seul mandat. Et ce n’est qu’un exemple. Dès cette rentrée 2019, à six mois des élections municipales, nombreux sont ceux qui se sauvent. Du jamais vu, ni à Saint-Fargeau-Ponthierry, ni dans aucune autre commune de France ! »
« En 40 ans, aucun maire de Saint-Fargeau-Ponthierry n’a été condamné par les tribunaux. Mais c’était avant moi. Depuis ma prise de fonction, j’ai été condamné plusieurs fois. Parmi les condamnations les plus symboliques on peut citer celle qui m’a été infligée pour avoir refusé de fournir des documents dans le cadre du projet du PLU. Je suis aussi fier d’avoir été condamné pour avoir refusé d’accorder une tribune à l’opposition dans un des journaux, ou pour avoir refusé de donner une salle à une association pour tenir son assemblée générale. Du jamais vu à Saint-Fargeau-Ponthierry ! »
Pour RPA, le maire de Saint-Fargeau-Ponthierry fait le point avec les Féréopontains sur ses promesses de campagne.
« J’ai réalisé les 10 points sur lesquels je m’étais très clairement engagé auprès de vous ! «
« Vous m’avez élu pour que je détruise la mairie, afin de la transformer en un tas de gravats et l’installer hors du cœur de ville. Je l’ai fait !
Vous m’avez élu pour brader le patrimoine foncier de la commune à moitié prix, soit 200 euros le m², là où cela vaut plus de 400 euros. Je l’ai fait !
Vous m’avez élu pour démanteler la ferme pédagogique, qui accueillait 10 000 enfants par an, et supprimer ainsi sept emplois. Je l’ai fait !
Vous m’avez élu pour multiplier par trois le rythme de constructions de logements sur la commune. En tant qu’ancien président du BTP77, j’ai fait mieux ! Le rythme a été multiplié par quatre ! Et ce n’est pas fini. J’ai annoncé 1 500 logements sur les bords de la Seine avec des immeubles de six étages !
Vous m’avez élu pour ne plus entretenir pendant six ans aucune route, ni ouvrir le moindre mètre supplémentaire de liaisons douces pour compléter les 13 km déjà créés sur la commune. Je l’ai fait !
Vous m’avez élu pour arrêter les bonnes pratiques écologistes et environnementales en mettant à la poubelle toutes les préconisations de l’Agenda 21, réalisé en concertation avec la population. J’ai tout arrêté dès ma prise de fonction comme vous l’aviez souhaité !
Vous m’avez élu pour ne plus recevoir les administrés de la commune. J’ai immédiatement supprimé les permanences du maire !
Vous m’avez élu pour mettre fin à tous les outils de la démocratie participative. J’en ai fait ma priorité ! Fini les conseils de quartier, le conseil des associations, les projets présentés et discutés avec la population !
Vous m’avez élu pour continuer à percevoir la taxe municipale sur l’électricité que chacun paie, une taxe faite pour les enfouissements de lignes. Je confirme qu’aucune ligne n’a été enfouie durant le mandat !
Vous m’avez élu pour augmenter les impôts des Féréopontains, dans tous mes mandats exercés. Je l’ai fait quatre fois : les impôts communaux par deux fois, puis les impôts départementaux, et enfin ceux de l’agglomération melunaise dès 2016, qui s’appliquent désormais à vous tous !
J’ai tenu tous mes engagements. Comme quoi, dans six mois, vous pourrez continuer à me faire confiance pour dégrader un peu plus la ville !«
S’il est un comportement constant des élus majoritaires depuis les dernières élections municipales, c’est le mépris qu’ils affichent envers les élus de l’opposition.
Par leur propos, leurs actes, leurs attitudes, ils affichent leur sentiment de supériorité et portent atteinte au bon fonctionnement démocratique.
Prenons quelques exemples :
Quiconque a assisté à une séance du conseil municipal de Saint-Fargeau-Ponthierry en ressort effondré devant l’attitude des élus majoritaires : ricanements, vociférations, comptes-rendus des séances précédentes tronqués et faux. Tout y est passé : calomnies, diffamation, propos désobligeants, insultes…
Quel que soit l’élu de l’opposition qui prenne la parole, le maire et certains de ses adjoints et conseillers répondent avec condescendance, mépris, dédain… et encore, quand ils savent quoi répondre.
Car, régulièrement, on sent le flottement, l’incompréhension d’un sujet qu’ils ne semblent pas maîtriser. Heureusement que les services sont là pour leur souffler les réponses. A ce niveau-là, le mépris n’est plus seulement à l’égard des élus de l’opposition, mais aussi des Féréopontains. Et là, c’est plus grave.
Les plus respectueux des élus majoritaires se contentent, eux, de dessiner ou de jouer sur leur téléphone pendant la séance.
Le mépris se manifeste aussi envers des citoyens venus poser des questions en fin de conseil. Le ton, et surtout l’absence de réponses, s’avèrent tout aussi dédaigneux.
On se plaint, à juste titre, de l’incivilité des habitants qui salissent notre ville. Les élus majoritaires, et en premier lieu le maire, devraient s’interroger sur le mauvais exemple qu’ils donnent à la population.
Qu’ils ne s’étonnent pas si ce mépris se transforme en sanction dans un an….
L’effet boomerang !