Un éco-festival pour éveiller les consciences

Nous vous en parlons depuis déjà plusieurs mois… Le voilà !

L’éco-festival approche !

Il se déroulera du 30 mars au 6 avril, à l’Espace culturel des 26 Couleurs, organisé en partenariat entre les Amis des 26 couleurs et RPA, avec l’appui de la municipalité.

L’éco-festival, c’est une semaine de projections, rencontres et débats en lien avec la transition écologique. Une semaine qui vous invite à découvrir, à vous informer, à débattre autour des menaces qui pèsent sur notre environnement et à ouvrir les chemins des possibles. Une semaine pour tous les publics. Les scolaires y ont une large leur place.

Le samedi 30 mars, RPA vous invite à un après-midi sur le thème « L’eau douce, un bien commun en péril ».

Une thématique d’une actualité criante, en France et dans de nombreux pays. Une conférence-débat abordera la problématique au niveau de la planète, de la France et à Saint-Fargeau-Ponthierry avec des propositions de solutions. Cette conférence sera suivie de la projection d’un documentaire, à 17h30 : « La rivière », du réalisateur Dominique Marchais, un film de 2023.

« Entre Pyrénées et Atlantique coulent des rivières puissantes qu’on appelle les gaves. L’activité humaine y bouleverse le cycle de l’eau et la biodiversité. Un monde fascinant fait de beauté et de désastre. »

D’autres conférences vous sont proposées sur l’agriculture et l’alimentation le mercredi 3 avril, sur les énergies le jeudi 4 avril, ou encore sur la pollution lumineuse le vendredi 5 avril.

Des documentaires et des films de fiction sont également au programme, « Les Algues vertes« , de Pierre Jolivet le dimanche 31 mars, « Ponyo sur la falaise« , d’Hayao Miyazaki le mardi 2 avril, « Animal« , de Cyril Dion le vendredi 5 avril, ou encore « La promesse verte« , d’Edouard Bergeron le vendredi 5 avril.

Et un atelier de sciences participatives est programmé le samedi 6 avril à 13h30, « Curieux de nature », pour apprendre à reconnaître les plantes sauvages environnantes. La séance sera suivie d’une balade aux alentours avec un naturaliste.

© Les Amis des 26 Couleurs
  • Il est également disponible ici

N’hésitez pas diffuser largement ce programme autour de vous.

Comme le confie Jean Morlais, l’adjoint à la Transition écologique de Saint-Fargeau-Ponthierry, « cet Éco-festival va dans le sens de l’histoire. Continuons à éveiller les consciences et à accompagner les changements d’habitudes pour réussir la transition écologique dans laquelle notre monde est engagé ! »

Nous vous espérons nombreux durant cette semaine de tous les possibles !

Ensemble, cultivons notre futur !

A la rencontre de la transition agricole

Une journée à la rencontre de la transition agricole !

Samedi 1er octobre 20222, de 11h à 18h

A l’espace culturel des 26 Couleurs

Expositions, conférence-débat, cinéma…

Et nous fêterons également les 10 ans de l’Amap (Association pour le maintien d’une agriculture paysanne) les Paniers de Pontoch!

Au programme :

11h – 12h15 :

L’Amap « Les Paniers de Pontoch » délocalise sa distribution sur le parvis des 26 Couleurs et dans la salle Friésé.

11h – 14h :

Ateliers pour les enfants.

11h – 14h :

Plusieurs exposants vous attendent : marché paysan avec des producteurs de proximité, Parc naturel du Gâtinais, Confrérie Saint-Vincent, ferme alternative de Saint-Fargeau…

12h30 – 13h :

Célébration des 10 ans de l’Amap Les Paniers de Pontoch, en présence de la maire de Saint-Fargeau-Ponthierry, Séverine Félix-Boron.

Le midi, possibilité d’un repas partagé avec des produits qui pourront être achetés sur place.

14h30 :

Conférence-débat sur la Transition agricole, salle Friésé, animé par Benoît Biteau, paysan Bio, député européen EELV, et Kerian Sil, de l’association Agrof’ile.

16h15 :

Projection du documentaire « Le Temps des arbres », salle Catherine Deneuve.

Une journée organisée par

Les Amis des 26 Couleurs
L’Amap les Paniers de Pontoch
RPA, Rassembler pour l’avenir
Avec le soutien de la municipalité de Saint-Fargeau-Ponthierry
© RPA

La fabrique des pandémies

Nous vous partageons ce projet de la réalisatrice Marie-Dominique Robin.

La documentariste, auteure notamment de « Le monde selon Monsanto » ou de « Sacré croissance », termine actuellement le tournage de « La fabrique des pandémies », son dernier documentaire.

Dans ce film, tiré de son livre paru l’année dernière « La fabrique des pandémies : préserver la biodiversité, un impératif pour la santé planétaire », Marie-Dominique Robin fait le constat que la pandémie prouve que la destruction des écosystèmes et la globalisation menacent directement la santé planétaire.

Depuis les années 2000, 70% des maladies émergentes, Sras, Ebola ou Covid-19, sont des zoonoses, des maladies transmises par des animaux aux humains.

Pour un nombre croissant de scientifiques, cette « épidémie de pandémies » est causée par les activités humaines, qui précipitent l’effondrement de la biodiversité. Pour les spécialistes qui étudient ces virus, c’est la fragilisation des milieux sauvages qui crée les conditions d’émergence des zoonoses.

Face à cette menace, une réponse : « une conception globale de la santé à l’interface hommes-animaux-écosystèmes, qui met en cause la place des humains sur la planète et notre économie reposant sur l’exploitation irraisonnée des ressources naturelles et la globalisation effrénée des échanges ».

De l’Asie à l’Afrique en passant par les Amériques, le film montre comment la déforestation, l’extension des monocultures et de l’élevage industriel, mais aussi le dérèglement climatique, favorisent la propagation de nouveaux agents pathogènes.

Une vingtaine de scientifiques issus des cinq continents offrent leur vision d’ensemble de l’action à engager au niveau local, national et international. Leur constat est sans appel : « Si nous ne nous attaquons pas aux causes des « nouvelles pestes », les alertes aux pandémies prendront le pouvoir sur nos vies et le coût – financier, humain et écologique – sera colossal. »

Afin de pouvoir terminer son documentaire, Marie-Dominique Robin cherche des souscripteurs afin de boucler son budget. Pour que ce film puisse voir le jour, elle vous invite à devenir souscripteur.

Rendez-vous sur le site dédié à La fabrique des pandémies,

Ou sur les pages Facebook du film ou de la réalisatrice

A voir également le soutien apporté par la comédienne Juliette Binoche qui participe au documentaire.

© Fabrique des pandémies

Les inondations ne sont pas inéluctables

Lundi, les Féréopontains ont débuté le déconfinement les pieds dans l’eau. En fin de week-end dernier, ils ont été nombreux à avoir à faire face aux inondations. De fortes pluies se sont abattues sur notre commune. L’eau a envahi des sous-sols et des rez-de-chaussée d’habitation dans de nombreuses rues.

Depuis les inondations catastrophiques de 2016, tout le monde réclame que des dispositions soient prises sur la commune. Si les excès de pluviosité ne peuvent être régulés au niveau local, leurs conséquences pourraient être amorties avec une réelle prise en main des décideurs. Mais hélas, aucune réponse depuis 4 ans, ou tellement anodines et absolument pas à la hauteur des besoins.

De telles catastrophes résultent toujours de la convergence de plusieurs phénomènes : de fortes pluies s’abattent alors que les sols étaient gorgés et les nappes phréatiques déjà hautes. Du fait de leur manque d’entretien, les canalisations ont été incapables d’assurer un débit suffisant pour évacuer toute cette eau. Or, ces canalisations d’eaux pluviales doivent être entretenues régulièrement, tout comme les ruisseaux et cours d’eau, débarrassées des embâcles qui les colmatent.

Un millefeuille à orchestrer

Les responsabilités sont diluées au sein de plusieurs structures intercommunales : des syndicats spécialisés, notamment le Syndicat mixte des bassins versants de la rivière École, du ru de la Mare-aux-Évées et de leurs Affluents (SEMEA) pour l’axe Auxonnettes-Moulignon-Jonville, l’agglomération melunaise pour la gestion notamment des canalisations… Il y a également l’obligation de mettre en œuvre et de gérer une multitude d’outils qui se recoupent, comme la récente Gestion des milieux aquatiques et prévention des inondations (GEMAPI), le plan local d’urbanisme, le contrat d’assainissement. Face à ce millefeuille, la tendance est de se renvoyer les responsabilités plutôt que d’essayer de les traiter collectivement.

Mais force est de constater que la commune a pâti du manque d’investissement en maintenance de notre municipalité. Le défaut d’entretien des voiries de surface, que chacun a pu constater, est symptomatique d’un même défaut d’entretien des canalisations enterrées          !

Pour autant une telle situation est-elle inexorable ?

C’est bien de la responsabilité du maire de coordonner l’ensemble des acteurs compétents sur le sujet et d’assurer la cohésion nécessaire pour engager les actions retenues, qu’elles soient immédiates ou à plus ou moins long terme.

De plus, chacun voit aujourd’hui que les programmes de construction s’accélèrent. Cela augmente la quantité d’eau de pluie dans les canalisations en aval. L’urbanisation est patente. Et l’absence de création d’espace de rétention des eaux, de rétablissement des couloirs naturels d’évacuation des eaux, est malheureusement tout aussi flagrante.

Nous aurons à l’avenir à faire face de plus en plus souvent à des événements climatiques d’ampleur. Les élus, à tous les échelons, doivent donc s’inscrire dans une démarche cohérente, efficace et respectueuse de l’environnement.

Mais on est loin de tout cela à Saint-Fargeau-Ponthierry. La municipalité, mobilisée essentiellement par l’aboutissement et la multiplicité des programmes de constructions, semble bien noyée par cette question.

Contournement de Melun : des associations vous appellent à vous mobiliser !

Un collectif d’associations vous appelle à vous mobiliser le samedi 29 février contre le contournement de Melun.

Parmi ces associations, Ademaj, Alternatiba Sénart 77, France nature environnement 77, ou encore l’association des Bois du canton. Elles qualifient ce projet d’écocide et d’inutile.

Le tracé menace le Bois de Bréviande et les paysages des vallées de la Seine et de l’École. Il doit contourner Saint-Fargeeau-Ponthierry et menace également Auxonnette, Moulignon et Jonville.

Une marche relais est organisée avec deux départs différents.

Un premier parcours prendra le départ à 9h de la Ferme d’Auxonnettes, à Saint-Fargeau-Ponthierry.
10h Mairie de Pringy
10h30 Mairie de Boissise-le-Roi
11h30 Mairie de Boissise-la-Bertrand
12h30 rendez-vous au Parc de Pozoblanco au Mée-sur-Seine

Le second parcours partira à 10h30 de la mairie de Cesson
10h45 Mairie de Vert-Saint-Denis
12h30 rendez-vous au parc de Pozoblanco au Mée sur Seine pour rejoindre la première marche.

Viendra ensuite un grand pique-nique citoyen, avec le repas tiré du sac.

13h30 : nouveau départ de la marche en direction de la place saint Jean à Melun.

15h30 Arrivée Place Saint Jean, à Melun.

Chaque rendez-vous sera l’occasion d’une prise de parole auprès des élus locaux et des candidats aux élections municipales.

© Alternatiba Sénart 77

Soyons nombreux ! 

Compte tenu des horaires et de la longueur des marches, chacun peut choisir sa participation, sur la totalité des parcours ou en partie. Il est souhaitable d’être nombreux dans la dernière étape. A vous d’organiser des navettes ou d’utiliser les transports en commun.

Le collectif pour la sauvegarde du bois de Bréviande et pour un développement soutenable compte sur vous.

Pour en savoir plus :

Contournement de Melun : une marche symbolique pour interpeller les élus avant les élections

Marche pour la sauvegarde du bois de Bréviande

Villes en transition : agir localement de manière collective pour l’environnement

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Nous trions tous nos déchets. Nous faisons un effort pour éteindre les lumières inutiles. Nous faisons attention à réduire notre consommation d’eau. Certains d’entre nous font leur compost. Nous essayons le plus possible de consommer localement.

 

Toutes ces bonnes résolutions, toutes ces initiatives que chacun d’entre nous prend à l’échelle individuelle n’ont rien d’exceptionnelles. Elles sont devenues presque banales.

Mais, lorsqu’elles sont mises en œuvre en cohérence entre elles, dans une démarche collective, elles peuvent devenir beaucoup plus significatives.

 

Cette démarche, de nombreuses villes dans le monde l’adoptent petit à petit. Il s’agit pour elles d’intégrer les enjeux du changement climatique et de franchir le passage à l’après pétrole.

 

Ce sont les « Villes et communautés en transition ».

 

Ces territoires agissent localement pour une vie plus respectueuse de l’environnement et de l’humanité.

 

Une initiative de « Transition » est une sorte de catalyseur qui a pour objectif de mettre en place des actions concrètes, comme des achats locaux, des jardins partagés, une monnaie locale, une recyclerie. La démarche vise également à soutenir et à valoriser les réalisations portées par des associations, des entreprises ou formalisées dans un Agenda 21. Elle tend aussi à encourager et à favoriser la convergence des initiatives citoyennes entre elles et avec les actions des pouvoirs publics.

 

Le but de toutes ces initiatives est de

  • réduire fortement, individuellement et collectivement, la consommation d’énergie d’origine fossile et nos émissions de CO2
  • renforcer la résilience de nos territoires, leur capacité à absorber les chocs à venir, par une relocalisation de l’économie
  • renforcer les liens, les solidarités et la coopération entre l’ensemble des acteurs du territoire.

 

Pour que Saint-Fargeau-Ponthierry et ses habitants puissent s’inscrire dans cette démarche et prendre leur part dans la lutte contre le changement climatique, l’association Rassembler Pour l’Avenir propose d’ouvrir la réflexion en organisant une conférence-débat

 

« Villes en Transition »

le samedi 17 Novembre, à 15 heures

salle Ginette Rivière, à Saint-Fargeau-Ponthierry

 

C’est ensemble, collectivement, que la lutte contre le changement climatique se gagne.

La transition commence maintenant.

 

Conférence-débat « Villes en transition »

 

RPA a fait appel à deux intervenants qui viendront faire part de leur expertise et de leur témoignage.

 

  • Jean-Luc Pasquinet contribue à KAIZEN et La Gueule Ouverte; il a entre autres écrit « Relocaliser » où il met en parallèle le mouvement pour la décroissance et les villes en transition. Il abordera les raisons qui motivent le passage à une transition, les limites de la planète, et un aperçu des solutions à mettre en œuvre : relocalisations, économie circulaire.

 

  • Damien Carême est maire de Grande-Synthe depuis 2001. Il a orienté sa ville vers le mouvement de la transition en 2010. Dans le cadre des villes en transition, sa ville a été choisie comme sujet d’étude universitaire.

Conférence-débat « Villes en transition »

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Un rendez-vous avec l’avenir de Saint-Fargeau-Ponthierry à noter sur vos agendas :
le samedi 17 novembre 2018, dès 15h.

 

Agir localement pour une vie plus respectueuse de l’environnement et de l’humanité, c’est l’ambition des villes engagées dans une démarche de transition.

Il s’agit de mettre en cohérence entre elles des initiatives individuelles et de les inscrire dans une démarche collective.

Ces territoires sont appelés des « Villes et communauté en transition ».

 

Pour que Saint-Fargeau-Ponthierry et ses habitants puissent s’inscrire dans cette démarche et prendre leur part dans la lutte contre le changement climatique, l’association Rassembler Pour l’Avenir propose d’ouvrir la réflexion en organisant une conférence-débat

 

« Villes en Transition »

le samedi 17 Novembre, à 15 heures

salle Ginette Rivière, à Saint-Fargeau-Ponthierry

 

RPA a fait appel à deux intervenants qui viendront faire part de leur expertise et de leur témoignage.

 

  • Jean-Luc Pasquinet contribue à KAIZEN et La Gueule Ouverte; il a entre autres écrit « Relocaliser » où il met en parallèle le mouvement pour la décroissance et les villes en transition. Il abordera les raisons qui motivent le passage à une transition, les limites de la planète, et un aperçu des solutions à mettre en œuvre : relocalisations, économie circulaire.

 

  • Damien Carême est maire de Grande-Synthe depuis 2001. Il a orienté sa ville vers le mouvement de la transition en 2010. Dans le cadre des villes en transition, sa ville a été choisie comme sujet d’étude universitaire.

 

Pour en savoir plus :

 

Le mouvement « Villes et Communautés en Transition » est issu d’une réflexion d’un universitaire irlandais, Rob Hopkins.

 

Dans les années 2000, ce professeur en permaculture mène des conférences sur le pic pétrolier et sur ses conséquences sur notre environnement.

 

Inquiet de la pénurie des ressources fossiles et du dérèglement climatique, il propose des initiatives locales s’appuyant sur l’implication des citoyens.

 

Après une première expérience à Kinsale en Irlande en 2005, il met en place en 2006 un projet grandeur nature à Totness, en Angleterre, avec l’implication des habitants. L’objectif des pionniers du concept est d’inciter les citoyens d’un même territoire à prendre conscience du pic pétrolier, de ses profondes conséquences, et de l’urgence de s’y préparer.

 

Le processus cherche à mettre en place des solutions visant à réduire ses émissions de CO2 et sa consommation d’énergie fossile selon un plan d’action baptisé « Plan d’action de descente énergétique » (PADE).

 

Le mouvement prend très rapidement une dimension internationale.

Il existe aujourd’hui plus de 2 000 initiatives de Transition dans le monde, en 50 pays, dont 150 en France.

© RPA

 

Environnement et développement économique, même combat ?

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Avec une quinzaine de participants ce 28 septembre, la réunion « Environnement & développement territorial » organisée par la municipalité n’a, encore une fois, pas fait recette. Après avoir annulé la réunion publique sur son bilan environnemental, la municipalité l’a regroupé avec celle sur son développement économique. Serait-ce un bon signe ?

 

Bilan environnemental

En fait la synergie n’a pas eu lieu, les deux sujets sont traités l’un après l’autre.

Aucun bilan environnemental n’a été fait. L’exposé a porté sur les projets. Projets intéressants, au demeurant, puisqu’il s’agit d’aménager l’ENS Sachot, le bois des Bordes et le bois Leroy, à partir des études du Parc naturel régional du Gâtinais (PNR) et du Conseils d’architecture, d’urbanisme et de l’environnement (CAUE).

Félicitons-nous que ces parcs aient conservé leur classement en Espace Boisé Classé (EBC), contrairement à ce que prévoyait le PLU soumis à l’enquête publique. Toutefois, on peut regretter que les habitants ne soient pas associés à la réflexion sur ces aménagements.

Le maire proclame qu’il ne travaille qu’avec « les sachants, les partenaires, ceux qui connaissent… ».

Quant à la prévention des inondations, « études – études – études ». Les travaux sur les rus ne commenceront pas avant 2020, voire 2021 sur Moulignon. Est-ce que la météo attendra, comme l’a souligné un intervenant dans le public ?

 

Bilan aménagement du territoire

Détour par l’aménagement du territoire : le maire a défendu sa frénésie de construction, nous expliquant que c’est sa manière de maîtriser l’urbanisme. Il nous apprend d’ailleurs que les élus de sa liste qui ont démissionné en voulaient plus. C’est la raison de leur démission. Les anciens élus en question approuveront sûrement cette affirmation !

Les équipements publics et scolaires ne suivent pas. Mais pourquoi donc l’ancienne municipalité n’a-t-elle pas prévu cet afflux de population dans sa boule de cristal ? On ne sait pas, en revanche, pourquoi l’actuelle municipalité n’a pas anticipé sa boulimie de béton.

Le marché, lui, ne sera pas remplacé par des immeubles. « Seulement quelques travaux de réparation… le sol est glissant ! » Sa démolition était une « fake news », paraît-il. Les commerçants ont dû mal entendre.

 

Bilan économique

De bilan économique, il n’y en pas eu non plus. Monsieur Fromentin, conseiller municipal chargé du développement des entreprises, nous a expliqué qu’une centaine d’entreprises sont candidates pour venir dans notre commune.

Si l’ambition de la municipalité était de fournir des opportunités d’emplois aux Féréopontains, on se demande pourquoi ils ont refusé le projet Pack-en-Seine. Ce centre de formation référent pour toute l’industrie liée aux activités de l’impression, qui devait entraîner l’arrivée d’entreprises de ce secteur, était prêt à être signé.

Et pourquoi ont-ils attendu près de cinq ans pour penser à remplir le 1/3 restant de la zone d’activités d’entrée de ville puisqu’il y a tant de demandes. Etait-ce pour laisser le temps à BDM de s’approprier les terrains, lui qui a déjà acheté le site mairie à moitié prix ?

Au final, environnement et développement économique, un bilan qui sonne creux.

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