Secrets d’histoire à Saint-Fargeau-Ponthierry : histoire d’une mairie

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Nous sommes au début du XXème siècle. L’industrie, en plein développement, vient s’installer sur la partie vide de la commune de Saint-Fargeau, dans le hameau de Ponthierry.

 

Avec la disparition de la vigne, Saint-Fargeau perd sa principale activité économique. Maurice Leroy vient alors y implanter la première entreprise industrielle de papiers peints de France. Ponthierry se développe avec l’entreprise Leroy comme moteur. Dans une culture d’un patronat paternaliste, Maurice Leroy crée des logements pour ses ouvriers et ses cadres, installe des bains-douches ainsi qu’un dispensaire. Il finance aussi la plupart des activités de la commune (fanfare, club de football…)

 

Devenu maire, Maurice Leroy décide en 1926 de ramener la mairie, alors installée à Tilly, à Ponthierry. Pour cela, il achète à la famille Lefranc une maison placée dans l’axe de son entreprise, reliée à elle par ce qui deviendra l’avenue Beaufils.

Le cœur de la nouvelle ville est né. En 1961 le nom de Ponthierry est rajouté à celui de Saint-Fargeau pour devenir la commune de Saint-Fargeau-Ponthierry.

 

15 maires vont se succéder dans ce bâtiment. Avec leurs équipes municipales et leurs services ils vont façonner cette ville en veillant à lui garder son identité mi rurale, mi urbaine.

En 1995 la nouvelle municipalité, menée par Lionel Walker, décide immédiatement d’agrandir ce bâtiment.

Elle rachète en deux fois, en 1996 puis en 2000, la maison attenante au bâtiment initial : la maison dite « Bailly », du nom d’un artisan forgeron bien connu de la commune.

Une délibération, votée à l’unanimité en décembre 1999, engage la commune à protéger tous les outils de forgeron de l’atelier, inventoriés à cette occasion.

 

Parallèlement au renforcement des équipements du centre-ville qui reprend de la dynamique, la mairie devient le moteur du centre-ville.

En 1996, des travaux confortant cet équipement sont engagés avec la jonction du bâtiment initial et de la nouvelle acquisition.

Puis en 2008 et 2009, l’aménagement du rez-de-chaussée, intégrant les nouvelles normes d’accessibilité, est réalisé, avec notamment une transformation profonde de l’accueil, suivi, en 2010, de la climatisation de tout le 2ème étage.

 

La préservation du bâtiment historique est affirmée. Des extensions, devenues nécessaires, sont alors envisagées.

 

Mais 2014 arrive, et avec, le début du bradage de la commune…

A suivre…

Démolition de la mairie : l’âme de la ville disparaît

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L’image de la destruction de la mairie est marquante, choquante pour les habitants.

C’est la fin d’une époque, la mise à bas d’un patrimoine cher à tous les Féréopontains.

Un symbole de ce qui faisait l’âme et l’histoire de la ville disparaît. Services de proximité, convivialité, contacts humains, vivre ensemble, autant d’idées qui s’évaporent dans les gravats.

 

Depuis des semaines, les Féréopontains disent leur tristesse, leur émotion et leur colère devant la démolition du bâtiment emblématique de la ville. C’était aussi le cas mercredi soir lors d’un rassemblement citoyen symbolique.

« Dur à voir », « honteux », « lamentable », « choquant », peut-on entendre dans les rues de la commune.

« Inadmissible », « Notre mairie part en morceaux… comme la commune toute entière », peut-on lire dans les écrits des habitants.

 

Pour beaucoup, c’est un pan de leur histoire qui se retrouve en poussière.

 

« Ce n’est pas seulement le bâtiment qui va tomber, ce sont nos racines ».

« Pour moi dont la première vision de Saint-Fargeau-Ponthierry fut la mairie quand mon père nous fit débarquer ici en 1972 », raconte ce quinquagénaire. « Ces images sont un vrai choc. C’est à cause ou grâce à ce bâtiment que nous sommes Féréopontains depuis 46 ans. Mais là, les mots me manquent ».

« Qu’est devenu le Ponthierry de ma jeunesse », s’interroge cette autre Féréopontaine. « La volonté du maire est d’effacer tout notre passé. C’est désolant ».

 

Beaucoup de nos concitoyens s’interrogent déjà sur le devenir de ce lieu, sur ce qui poussera sur ces gravats.

« Quelle froideur aura ce quartier sans âme ? Quelle tristesse ! »

« Je ne vois pas en quoi le bâtiment de l’ancienne mairie gênait là où il se trouvait. Au contraire, les immeubles auraient été cachés derrière. Cela aurait été plus joli. Elle aurait pu être réhabilitée. »

Les futurs immeubles vont « gâcher le charme de Ponthierry ».

« Nous avons une petite maison dans la rue derrière », dit ce couple de retraités. « On est dévasté car ce projet n’apparaissait pas au PLU de 2014. »

Nombreux sont ceux qui disent leur « effroi », leur « stupeur », leur « désolation ».

« La ville qu’on aimait va devenir un centre urbain déshumanisé. »

 

Quant au patrimoine, des interrogations émergent. « Qu’est devenu le matériel artisanal » stocké dans les bâtiments annexes de l’ancienne mairie, qui étaient la maison Bailly, du nom de l’ancien forgeron de la commune ? « Ce matériel devait être préservé. Les promesses faites à la famille Bailly ont-elles été respectées ? »

© RPA

Jeudi soir, comme un dernier sursaut, le fronton du bâtiment principal, que le maire a promis de conserver, faisait encore de la résistance. Fracturé en plusieurs points, sa préservation semblait compromise.

 

Un fronton se fissure, la ville se morcèle, la municipalité avec.

La destruction de la commune continue

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Chacun l’aura constaté avec stupeur : la destruction des bâtiments historiques de la mairie de Saint-Fargeau-Ponthierry a débuté ce vendredi 16 novembre.

A présent, c’est au tour de la salle de tennis de table, la plus belle du département, d’être menacée de démolition.

Le maire avait pourtant dit haut et fort que cette salle ne serait pas touchée. Mais il hâte le pas pour libérer la salle au plus vite.

Retour sur ce triste feuilleton.

 

Le premier projet d’urbanisation des terrains du site mairie incluait le gymnase accueillant la salle de tennis de table depuis maintenant huit ans, au prix d’une lourde réhabilitation. Le périmètre concerné par la démolition englobait tout l’espace situé entre la rue de la Fileuse et la D 607 (ex RN7). Objectif non avoué : satisfaire la demande du promoteur « ami » du maire (comme annoncé en conseil municipal) en bradant le terrain à 200 euros le m², soit deux fois moins cher que le prix du marché (400 à 450 euros le m²).

Mais devant les vives réactions des Féréopontains et du responsable du club de tennis de table, Jean Pierre Pelletier aujourd’hui décédé, le périmètre est revu à la baisse. La salle de tennis de table est préservée. Le prix de vente, lui, est resté inchangé.

 

Pourtant, le maire ne renonce pas à autoriser des constructions sur ces lieux, pressé sans doute à répondre à des engagements pris.

Le 17 avril 2018, une commission d’appel d’offres se tient pour étudier les résultats de la consultation des entreprises lancée en mars. Elle concerne un seul lot, situé sur le terrain du Cosec. Ce lot est composé de trois tranches dont la deuxième prévoit « la création d’une salle de musculation et d’une salle de tennis de table ». L’actuelle salle devient alors inutile et est à nouveau promise à la destruction.

Cette situation a été dénoncée par RPA dans son Hebdo n° 30 du 11 mai 2018.

Interpellé en conseil municipal par les élus du groupe Transition, le maire et son premier adjoint n’ont comme seule réponse qu’il s’agit d’une Fake News inventée de toute pièce par l’opposition. Pourtant, la commission d’appel d’offre s’est bel et bien réunie.

 

La carotte et le bâton

 

Pour parvenir à ses fins, le maire utilise la carotte et le bâton afin de libérer les bâtiments occupés par les sportifs pour pouvoir construire, encore et toujours !

La carotte : le maire et le premier adjoint rencontrent le président et le bureau du club de tennis de table. Ils leur expliquent que leur bonheur est d’accepter de déménager en s’installant dans cette nouvelle salle, bien que plus petite que l’actuelle.

Le bâton : ils laissent le bâtiment actuel se dégrader, empêchant la bonne activité du club.

  • Des ampoules attendent pendant des semaines d’être remplacées, obligeant l’annulation du tournoi régional prévu en octobre.
  • Pendant les vacances scolaires de la Toussaint, la chaudière, qui dysfonctionne depuis plusieurs semaines, n’est volontairement pas réparée. Résultat : le stage prévu pour les enfants est annulé, la température de la salle ne dépassant pas 12°.

 

A l’approche des échéances électorales, le maire accélère l’évacuation des lieux convoités par les promoteurs en contraignant purement et simplement le club à restreindre ou annuler ses activités afin qu’il n’ait d’autre choix que de quitter les lieux pour continuer d’exister.

La salle ainsi libérée pourra alors être détruite pour rentabiliser les terrains du centre-ville.

Comme pour la mairie, cette destruction serait un véritable non-sens, un vrai scandale, prouvant une fois de plus que la gestion de la commune répond d’abord à des intérêts privés avant ceux des Féréopontains.

 

Le maire poursuit ainsi son objectif fixé en 2014 : brader tous les terrains et propriétés communales les plus rentables, celles et ceux situés en cœur de ville.

Il serait temps d’inverser les choses !

Mairie : la destruction en cours, malgré le recours au tribunal

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Les travaux de démolition de la mairie emblématique de la commune ont démarré. Pourtant, un recours en Conseil d’Etat est engagé pour faire annuler le permis de démolir de l’ancienne mairie.

Un recours n’étant pas suspensif, le maire a décidé de passer en force sans attendre le résultat du jugement, dont il doit visiblement douter qu’il soit en sa faveur !

 

Une fois démolie, le projet immobilier sera inévitable quel que soit, au final, le jugement prononcé sur les illégalités dénoncées par des habitants et par les élus du groupe « Transition ».

 

Pourtant, le recours en première instance avait fait reculer les travaux de démolition. La bulle de vente des futurs appartements, installée en toute précipitation, avait été retirée, tout aussi précipitamment. Les ventes étaient suspendues et le début des travaux reculé.

 

Le tribunal de Melun s’est prononcé en juillet. Il n’a pas jugé le contenu des illégalités dénoncées estimant simplement que les requérants, n’habitant pas en proximité immédiate du chantier, n’étaient pas légitimes à intervenir. Ils ne seraient pas directement concernés.

Pourtant, une jurisprudence du Conseil d’Etat démonte cet argument. D’où l’appel en Conseil d’Etat déposé le 10 septembre.

 

Les prochaines échéances électorales arrivant, le risque de ne pas arriver à réaliser l’une des plus juteuses opérations immobilières du département est devenu grand. D’où ce coup d’accélérateur du maire.

De bons coûts à prévoir, mais de bien mauvais coups pour la commune !

 

Mauvais coup pour les Féréopontains, qui voient une partie de leur histoire se transformer en gravats !

Mauvais coup pour le cœur de ville, qui voit s’envoler le service public de proximité !

Mauvais coup pour la commune, qui voit se renforcer la sururbanisation de Ponthierry sans que, ni les équipements scolaires, ni les équipements sportifs, ni les solutions de stationnement, ni la question de la circulation, ne soient adaptés ou réfléchis en amont.

 

Et s’il y a un seul bon coût, c’est celui que les promoteurs ont obtenu du maire et de son équipe, complices d’une part, en ayant véritablement bradé le patrimoine communal et d’autre part, de l’avoir fait à moitié prix de sa valeur réelle. Pas un mauvais coup pour tout le monde !

 

Seule, une mobilisation d’un maximum de personnes peut sanctionner cette décision.

Une pétition demandant la suspension des travaux, le temps que le tribunal se prononce, est en cours.

A relayer autant que nécessaire car le maire et les élus municipaux doivent rendre compte de leurs actes.

Ils ont encore la possibilité d’éviter le pire et l’irrémédiable !

 

Signer la pétition en ligne

ou

Télécharger la pétition

 

Stop à la destruction de l’ancienne mairie !

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Le maire de Saint-Fargeau-Ponthierry a décidé délibérément le passage en force !

Les travaux de démolition de la mairie emblématique de la commune ont démarré.

Pourtant, un recours en Conseil d’Etat est engagé pour faire annuler le permis de démolir de l’ancienne mairie.

 

Le maire, s’il était respectueux de la justice, devrait attendre le jugement avant de lancer les pelleteuses. Mais il n’en fait rien. Il passe outre ! Il a donné son feu vert au commencement des travaux. Il devrait pourtant savoir que la jurisprudence du Conseil d’Etat ne plaide pas en sa faveur.

 

La proximité des échéances électorales pousseraient-ils à engager les travaux jusqu’ici reportés du fait des recours justifiés par les nombreuses illégalités mises en avant dans ce dossier ?

 

Face à ce déni de justice et à cet empressement, les élus de l’opposition du groupe « Transition » et l’association RPA lancent une pétition à destination du maire pour qu’il fasse suspendre les travaux le temps que le tribunal se soit prononcé sur le recours déposé.

 

Ils demandent par ailleurs le maintien du bâtiment emblématique de la commune et proposent d’y réintroduire un véritable service public, indispensable aux habitants d’un centre-ville, avec une antenne de la mairie (CCAS, police municipale), la maison des services publics et une maison des associations.

 

Vous pouvez agir !

En signant la pétition en ligne

En signant la pétition téléchargeable : Stop à la démolition de la mairie

Elle est à adresser :

  • soit directement sur le site internet de la mairie, http://www.saint-fargeau-ponthierry.fr/ rubrique « Vous avez la parole » (en reproduisant l’ensemble des trois demandes ci-dessus)
  • soit par courrier au siège de RPA : 46 avenue du Parc, 77310 Saint-Fargeau-Ponthierry

 

 

 

Mairie du cœur de ville : dernière tentative pour éviter sa destruction

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En lien avec les élus du groupe Transition, RPA tente de sauver le patrimoine communal face à la détermination de la municipalité de le brader au profit des intérêts de l’immobilier.

 

Le recours déposé au tribunal administratif a été rejeté sans que soient jugées les nombreuses irrégularités d’un dossier rempli d’illégalités, sans parler des conditions de cession à un prix deux fois plus bas que le prix du marché.

Le juge a en effet estimé que les requérants n’étaient pas légitimes à demander que le tribunal étudie sérieusement le dossier. Motif : ils habitent à plus de 50 mètres du site mairie concerné par le permis de démolir et de construire.

Le Conseil d’Etat saisi

Mais les requérants ont eu connaissance qu’une jurisprudence du Conseil d’Etat reconnaît le fait que ne pas être « voisin contigu » ne voulait pas dire que des habitants ne puissent pas être concernés.

Ils ont donc décidé, après consultation et avis du bureau de RPA, de faire appel auprès du Conseil d’Etat pour faire annuler la décision en première instance et espérer ainsi sauver la mairie.

 

Aujourd’hui, plusieurs autres démolitions sont prévues sur la commune afin de libérer les terrains les plus rentables aux promoteurs immobiliers. La construction d’une nouvelle salle de tennis de table a fait l’objet d’un appel d’offre afin de se débarrasser de la salle actuelle, alors que le club n’a aucune demande, ni aucun besoin en ce sens.

Et depuis cet été, des cabinets privés viennent au marché interroger des commerçants pour préparer leur dossier destiné à répondre à un appel à projet émanant de la municipalité, programmant ainsi le déplacement du marché à l’extérieur du centre-ville.

Eviter l’irrémédiable

Le cœur de ville est-il destiné à devenir un énorme quartier urbain, perdant ses services et ses commerces de proximité ?

L’appel au Conseil d’Etat est sans doute la dernière tentative pour éviter l’irrémédiable et empêcher que le centre-ville ne devienne une cité-dortoir.

Doit-on accepter la transformation de notre commune en une simple banlieue assurant la jonction urbaine entre trois agglomérations :

Evry-Corbeil-Essonnes, Sénart et Melun ?

Démolition « imminente » de la mairie ?

 

Le maire de Saint-Fargeau-Ponthierry affiche une fois de plus son mépris des Féréopontains. La mairie historique, celle qui a reçu la décoration de l’ordre de la Libération par le général de Gaulle et qui symbolise aux yeux de nombreux habitants l’attachement aux valeurs de la République, va être mise à bas par l’ancien président du BTP de Seine-et-Marne.

Mépris pour les Féréopontains et pour la justice de notre pays.

Une procédure juridique est en cours pour annuler le permis de construire, valant permis de démolition. Le jugement est prévu pour le printemps 2018.

Mais le maire a choisi de ne pas attendre la décision du tribunal. Son premier adjoint a même annoncé publiquement que la démolition serait « imminente ».

Lors du conseil municipal du 11 décembre les élus de l’opposition ont proposé que soit voté le vœu suivant :

« Les élus du conseil municipal de Saint-Fargeau-Ponthierry demandent au détenteur du permis de démolir et de construire de suspendre tous travaux sur ces terrains et notamment toute démolition du bâtiment « mairie » tant que le tribunal n’a pas rendu son avis sur le recours déposé le 23 mars (2017) par plusieurs requérants de la commune ».

Le maire et sa majorité ont refusé que ce vœu soit présenté et débattu. Ils préfèrent passer en force et rendre la situation irréversible sans attendre un jugement qui pourrait révéler à nouveau des illégalités.

Sans état d’âme, le patrimoine bâti et sentimental de la commune est liquidé, la décision de justice ignorée et les Féréopontains méprisés.

 

© RPA

Quand les Féréopontains parlent…mairie et services publics

A l’écoute des citoyens pendant ces trois années, les élus de l’opposition de la liste « Avec Vous, Réussir l’Avenir », en partenariat avec « RPA », ont pris l’initiative, début janvier, d’une consultation des Féréopontains.

Par courrier, par courriel ou via les réseaux sociaux, chacun a ainsi pu s’exprimer sur ce qu’il vit, sur les services rendus, ou non, à la population, sur la manière dont la municipalité envisage la ville.

Environnement, urbanisme, éducation, culture, économie, démocratie, finances, solidarités, sécurités, sports, transports, services municipaux, tous les sujets ont été abordés par les habitants.

Quand les Féréopontains parlent…mairie et services publics

 

Très mauvais, car handicapés et personnes âgées n’y ont pas accès.

Une mairie, c’est le cœur d’un centre ville !

Je suis contre. La mairie doit être au centre de la ville.

Un terrain en zone boisée et classé a été aménagé proche de chez nous. Suite à plusieurs courriers, aucune réponse de la municipalité en retour

Décision unilatérale du maire sans consultation ni concertation avec les habitants !!!

Il n’y a pas lieu d’engager une telle action, la mairie suffisait avec une extension. Les locaux techniques pouvaient être reconstruits sur le site actuel

Je déplore le déplacement de la mairie. C est du grand n importe quoi.

Le symbole de la ville sera détruit

lA démolition de la Mairie et la construction de logements en ces lieux est une monstruosité et une in cohérence.

Éventuellement un déménagement mais pourquoi démolir notre belle Mairie aux dernières infos que j’ai obtenu il serait question de conserver la façade et pourquoi pas le bâtiment complet ?

Que faire d’un hôtel de ville aussi éloigné du centre ville nous ne pouvons même pas nous y rendre à pieds les trottoirs depuis le centre villes sont impraticables nous ne marchons plus avec des sabots. Que M le maire fasse le trajet avec des talons. Nous regrettons aussi de ne plus voir les drapeaux flotter au centre de notre ville.

Pour les personnes âgées, la mairie était beaucoup mieux en centre ville. Trop loin pour les anciens.

Une mairie doit être en centre ville près cde ses citoyens.

Pourquoi ne pas avoir fait les travaux de l’ancienne mairie ?

Mauvais pour obtenir des rendez-vous

Non à la démolition de notre jolie mairie

Ponthierry doit rester une commune moyenne, accueillante, humaine et francaise

Il y avait des réalisations à faire dans la commune plus importante que l’acquisition de ce bâtiment industriel qui dénote le mauvais goût du maire

En tant que piéton, accès impraticable et dangereux

Honte au maire pour le déplacement de la mairie !

Je ne suis pas la seule : malgré une communication dispendieuse, les gens ne sont pas convaincus du bien fondé du projet nouvelle mairie.

Trop éloignée ainsi que les autres services

Enorme bêtise avec un grand « C ». Notre Mairie était suffisamment adaptée à nos besoins. (et cette vieille Dame en plus à une âme, Elle !)

Mairie : pourquoi détruire un ensemble de bâtiments qui avait été rénové il y a peu.

Je ne sais pas

Inquiétant pour le centre de Ponthierry. Pas de transport pour aller à la mairie ?

Démolition mairie inadmissible

Contre la démolition de l’ancienne mairie.

Pas du tout d’accord, trop décentré. Pas d’accord après 25 ans à SFP, c’est de la connerie (affreux), du gâchis, autre solution.

Pourquoi démolir une mairie qui pouvait être agrandie. Cela réduirait les frais

Opération immobilière obscure

Histoire de fric au détriment des habitants

En colère contre la démolition d’un si joli bâtiment au profit d’un autre franchement laid et si difficile d’accès.

 

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