Quel avenir pour les associations ?

 

Pour dynamiser la vie associative de notre commune, un conseil des associations avait été créé pour co-construire avec le milieu associatif les règles de la vie associative et notamment les critères de subvention. Ces critères étaient ensuite appliqués par le conseil municipal.

 

Aujourd’hui, le conseil des associations n’est quasiment plus réuni, la codécision n’étant plus la priorité de la collectivité. Désormais, la détermination des critères de subvention sera confiée à un cabinet privé. C’est ce qu’ont appris les associations par un courrier de l’élue aux finances. Ces nouveaux critères prendront effet en 2019.

Les élus de l’opposition ont demandé au maire et à ses adjoints que le conseil des associations soit convoqué au plus vite pour expliquer le sens et les objectifs de cette démarche. Demande restée vaine. La transparence de la gestion municipale n’est pas à l’ordre du jour.

 

Les avances de subventions aux associations interrogent aussi.

Cette année, elles ne représentent que 4% du montant des subventions et pour un nombre de plus en plus réduit d’associations. Les sommes proposées ne répondent en rien aux besoins des associations ayant des charges salariales et qui doivent attendre presque 6 mois avant de percevoir leur subvention. Elles devront survivre…

 

Enfin, quid de l’espace réservé aux associations pour communiquer sur leurs activités ?

Les colonnes dites « Morris » avaient été créées pour permettre l’affichage et l’information émanant des associations de la commune. Mais depuis 4 ans, ces espaces ont été largement investis par des affichages de partis politiques.

Afin de sanctuariser les colonnes, les élus de l’opposition ont émis un vœu avec pour objectif de les réserver uniquement aux informations associatives et de créer des espaces spécifiques pour l’expression libre. La majorité, sur consigne du maire, a refusé cette proposition.

 

Le dynamisme de la vie associative

ne semble pas intéresser le maire et ses colistiers.

Les collégiens, premières victimes du bétonnage

 

Le maire bétonne à tout va notre commune. Il n’oublie pas son passé de président du BTP de Seine-et-Marne et les intérêts de ses amis.

Mais il oublie de prévenir Jérôme Guyard, le conseiller départemental du canton de Saint-Fargeau-Ponthierry, que la population augmente.

Encore faudrait-il que celui-ci daigne venir régulièrement aux conseils d’administration du collège qui demeure pourtant de la responsabilité du conseil départemental.

Résultat de cet accroissement :

le collège de Saint-Fargeau-Ponthierry sera trop petit à la rentrée 2018.

Le sait-il ? A-t-il demandé au Conseil départemental d’agrandir le collège ? Ou, trop occupé à bétonner, a-t-il négligé la situation ?

Rassurons-nous, la solution a été trouvée : des animations culturelles et associatives du collège vont être supprimées pour récupérer des salles.

Tant pis pour les collégiens…

Que deviens-tu, ma ville ?

 

Pour ce premier Hebdo de l’année 2018, nous vous proposons ce texte écrit par un Féréopontain qui proteste devant la tournure actuelle du bétonnage de sa ville. Merci à lui pour avoir su mettre des mots sur les inquiétudes partagées par nos concitoyens.

Tous ceux qui par les temps ont dirigé tes pas
Avaient à cœur d’en faire une ville radieuse
Dans laquelle fleuriraient jardins et pavillons.
Oh oui, tu étais belle, mais tu ne savais pas
Que des élus trompeurs auraient l’idée honteuse
De te noyer un jour sous des flots de béton.
 
Dois-tu donc te résoudre à perdre ta nature
En devenant banlieue, toi qui étais villages ?
Et dois-tu accepter de masquer tes maisons
Sous l’ombre de bâtisses dévoreuses de verdure ?
Qu’êtes-vous donc édiles, atteints de cette rage
De bâtir à tout prix, et sans concertation ?
 
Que deviens-tu ma ville, et perdant la raison ?
L’égale de cités aux grouillements humains
Ecoles surpeuplées, parkings insuffisants ?
Es-tu donc à ton tour prise de contagion ?
Et que seras-tu donc lorsque viendra demain ?
Une ville inhumaine, à ton corps défendant ?

 

Antoine Stamatakis

Conférence-débat : L’eau en questions

 

L’eau recouvre 72% de la surface du globe. Mais moins de 3% est de l’eau douce.

L’eau est très inégalement répartie. Bon nombre de régions dans le monde vivent en état de stress hydrique. Le réchauffement climatique a également des conséquences sur la disponibilité de la ressource. Et inversement, la mauvaise gestion de l’or bleu a des effets sur le climat.

La question est d’une actualité criante. Elle concerne toute la planète. Et tout près de nous Saint-Fargeau-Ponthierry après les différents épisodes d’inondations que la commune a connus.

L’eau, c’est la vie

Pour aborder cette question, nous vous invitons à une conférence-débat

Le samedi 13 janvier 2018, de 14h à 18h

à la Ferme d’Auxonnettes, 33 rue du caporal Petit

 

Un débat citoyen avec trois conférenciers, une exposition, un jeu coopératif pour les enfants pour aborder la question de la ressource en eau dans le monde, la gestion de l’eau en France, l’eau à Saint-Fargeau-Ponthierry.

Déroulement de l’après-midi :
  • 14h Accueil des participants

Expositions et un jeu pour les enfants

 

  • 15h L’eau dans le monde

L’eau sur terre, Utilisation de l’eau par l’homme, Pollutions engendrées, La guerre pour l’eau ?

Solutions possibles, L’eau marine : surexploitation des ressources.

 Conférencier : Jacques Dérognat

 

  • 15h40 L’eau en France 

Impact du changement climatique sur les ressources en eau : vers quel scénario se dirige*-t-on ?

Prévision des crues en France.

 Conférencier : Guillaume Thirel

 

  • 16h30 L’eau potable 

Principes : captage, distribution, qualité, assainissement, traitement…

 

  • 16h35 L’eau à Saint-Fargeau-Ponthierry

L’eau sur le territoire de la commune

Les inondations : Le hameau de Moulignon.

Conférencier : Alain Garnier. Questions / débat 30mn à 45mn

 

  • 17h30-18h00 Prolongation des débats et/ou visites des expositions

 

Belle année 2018 !

 

L’association RPA « Rassembler Pour l’Avenir »

et les élus de l’opposition de Saint-Fargeau-Ponthierry de la liste

« Avec Vous, Réussir l’Avenir »,

vous souhaitent

une bonne et heureuse année 2018 !

© RPA

Les infos de la veille au 20 décembre 2017

 

© RPA

Des nouvelles de la mairie historique, bientôt démolie… les dégâts créés par les crues du ru de Moulignon… les entailles sur la vie des associations…

Les dernières infos de la Veille de RPA sont parues.

Nouvelles infos Veille RPA au 20 décembre 2017

Merci pour les relais et partages

Et continuez à nous faire remonter les informations de la ville que vous pouvez récolter autour de vous

Belles fêtes de fin d’année !

Tableau récapitulatif Veille RPA au 20 décembre 2017

Démolition « imminente » de la mairie ?

 

Le maire de Saint-Fargeau-Ponthierry affiche une fois de plus son mépris des Féréopontains. La mairie historique, celle qui a reçu la décoration de l’ordre de la Libération par le général de Gaulle et qui symbolise aux yeux de nombreux habitants l’attachement aux valeurs de la République, va être mise à bas par l’ancien président du BTP de Seine-et-Marne.

Mépris pour les Féréopontains et pour la justice de notre pays.

Une procédure juridique est en cours pour annuler le permis de construire, valant permis de démolition. Le jugement est prévu pour le printemps 2018.

Mais le maire a choisi de ne pas attendre la décision du tribunal. Son premier adjoint a même annoncé publiquement que la démolition serait « imminente ».

Lors du conseil municipal du 11 décembre les élus de l’opposition ont proposé que soit voté le vœu suivant :

« Les élus du conseil municipal de Saint-Fargeau-Ponthierry demandent au détenteur du permis de démolir et de construire de suspendre tous travaux sur ces terrains et notamment toute démolition du bâtiment « mairie » tant que le tribunal n’a pas rendu son avis sur le recours déposé le 23 mars (2017) par plusieurs requérants de la commune ».

Le maire et sa majorité ont refusé que ce vœu soit présenté et débattu. Ils préfèrent passer en force et rendre la situation irréversible sans attendre un jugement qui pourrait révéler à nouveau des illégalités.

Sans état d’âme, le patrimoine bâti et sentimental de la commune est liquidé, la décision de justice ignorée et les Féréopontains méprisés.

 

© RPA

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