A la rencontre de la transition agricole

Une journée à la rencontre de la transition agricole !

Samedi 1er octobre 20222, de 11h à 18h

A l’espace culturel des 26 Couleurs

Expositions, conférence-débat, cinéma…

Et nous fêterons également les 10 ans de l’Amap (Association pour le maintien d’une agriculture paysanne) les Paniers de Pontoch!

Au programme :

11h – 12h15 :

L’Amap « Les Paniers de Pontoch » délocalise sa distribution sur le parvis des 26 Couleurs et dans la salle Friésé.

11h – 14h :

Ateliers pour les enfants.

11h – 14h :

Plusieurs exposants vous attendent : marché paysan avec des producteurs de proximité, Parc naturel du Gâtinais, Confrérie Saint-Vincent, ferme alternative de Saint-Fargeau…

12h30 – 13h :

Célébration des 10 ans de l’Amap Les Paniers de Pontoch, en présence de la maire de Saint-Fargeau-Ponthierry, Séverine Félix-Boron.

Le midi, possibilité d’un repas partagé avec des produits qui pourront être achetés sur place.

14h30 :

Conférence-débat sur la Transition agricole, salle Friésé, animé par Benoît Biteau, paysan Bio, député européen EELV, et Kerian Sil, de l’association Agrof’ile.

16h15 :

Projection du documentaire « Le Temps des arbres », salle Catherine Deneuve.

Une journée organisée par

Les Amis des 26 Couleurs
L’Amap les Paniers de Pontoch
RPA, Rassembler pour l’avenir
Avec le soutien de la municipalité de Saint-Fargeau-Ponthierry
© RPA

Second tour de la présidentielle : faire barrage à l’extrême droite

Pour la troisième fois depuis le début de la Ve République, l’extrême droite s’est qualifiée pour le second tour de l’élection présidentielle. C’est la deuxième fois de suite. Plus que jamais, elle est aux portes du pouvoir.

L’accession de Marine Le Pen à l’Elysée ferait peser un grave danger pour notre société. Sous couvert d’une image qu’elle veut « apaisée », la candidate RN porte le même projet destructeur qu’il y a cinq ans. La dédiabolisation du RN, tentée par ses dirigeants et accompagnée par les médias, ne trompe personne. Et le discours radical d’Eric Zemmour lui a permis d’apparaître plus consensuelle.

Mais ne nous y trompons pas. Rien dans son programme ne saurait être une chance pour la France. Candidate autoproclamée du pouvoir d’achat, elle ne résorberait nullement les disparités bien ancrées dans la société. Une fois élue, elle appliquerait un programme d’exclusion, sans rapport avec les attentes sociales légitimes que nos concitoyens expriment et qu’elle prétend comprendre. Il y aurait fort à craindre pour la liberté du débat démocratique, pour l’indépendance des corps intermédiaires, médias, justice, syndicats… Sous couvert de justice sociale, son credo économique reste libéral. Et n’oublions pas l’avenir de notre planète. Son programme écologique est creux. Elle reste profondément climatosceptique.

RN ou FN : la même idéologie

Héritière du Front national, elle est issue d’un clan qui, depuis huit élections, défend, les mêmes idées. On a changé la façade pour les rendre plus acceptables. Identité nationale, immigration, Europe, laïcité, peine de mort, IVG… Elle reste dans la tradition de son père. Ne nous laissons pas tromper : elle n’a pas changé !

Les solutions prônées par le parti d’extrême droite sont dangereuses. Elles jouent sur le rejet et la peur de l’autre. Elles cherchent à rendre responsables des maux de notre pays tous ceux qui n’auraient pas les bonnes origines, la bonne couleur, la bonne religion, le bon parcours. Ces solutions visent à plus de replis sur soi, plus d’isolationnisme.

Rien ne saurait justifier de donner les clés du pouvoir à madame Le Pen. Regardons les pays qui se sont laissé tenter par les partis nationalistes. Du Brésil de Bolsonaro, à la Hongrie de Viktor Orban, en passant par le sinistre Poutine en Russie, les conséquences des politiques mises en œuvre sont dramatiques. Sans parler de la parenthèse Trump aux Etats-Unis. Ce sont d’ailleurs les modèles de la candidate du RN qui revendique clairement sa filiation avec certains et son admiration des autres.

Dernier rempart

Face à elle, Emmanuel Macron apparaît désormais comme le dernier rempart pour préserver ce qui constitue les fondements de notre pays, même si l’on peut lui imputer, en partie, le succès remporté par les théories d’extrême droite. Depuis cinq ans, pour certains, les réponses à la colère et au désenchantement des Français n’ont pas été données. Pour d’autres, elles n’ont pas porté leurs fruits.

Au premier tour, certains parmi vous, parmi nous, ont accordé leur confiance au président sortant. D’autres, ont préféré se tourner vers d’autres candidats estimant que le chef de l’Etat avait failli. Ils ont voté alors pour un autre modèle de société. Que vous ayez voté ou non pour Emmanuel Macron, il ne reste aujourd’hui que lui pour défendre et préserver notre modèle de démocratie.

Un vote Macron, mais pas un blanc-seing

A RPA, nous sommes de sensibilités diverses. Mais face à ce danger et cette urgence, nous réaffirmons notre attachement à une France forte, républicaine, solidaire, progressiste, humaniste, multiple et riche de ses diversités. Les valeurs défendues par le RN sont donc en totale contradiction avec les nôtres.

A ceux qui seraient tentés par le vote blanc ou l’abstention, nous affirmons que, face au danger d’un Rassemblement national destructeur pour la France et pour l’Europe, il n’y a pas à tergiverser.

Cet appel à voter pour Emmanuel Macron ne vaut pas quitus. Ce n’est nullement un blanc-seing qui lui est donné, comme il ne l’aurait pas été pour un autre candidat. Mais cela reste un soutien franc à la République, nécessaire pour ce second tour, afin que ses valeurs soient défendues. Si le meilleur n’est pas forcément garanti, le pire reste possible. Le pire, ce sont nos valeurs mises à sac, une remise en cause des droits qui ne seraient pas les mêmes pour tous, la solidarité qui ne s’appliquerait pas à tout le monde, le renoncement à nos libertés et l’affaiblissement de notre démocratie.

  • Pour notre liberté qui ne peut se négocier et encore moins s’amputer.
  • Pour une égalité bien réelle entre toutes et tous, face à l’emploi, aux aides sociales, à l’accès aux soins et au socle de droits
  • Pour la fraternité, la générosité et l’humanité envers tous comme le respect de notre environnement partagé.

Dimanche 24 avril 2022, votons Emmanuel Macron !

© RPA

Bords de Seine : où est le projet alternatif d’Ademaj ?

Mais où est le projet alternatif porté par Ademaj pour les Bords de Seine ?

L’association de défense de l’environnement de Moulignon-Auxonnettes-Jonville mène depuis plusieurs mois une campagne dénonçant le projet de réaménagement des Bords de Seine que la municipalité a mis en concertation. Elle met en avant la possibilité d’autres solutions pour le réaménagement du site. Pourquoi pas…

Rappelons que la majorité municipale actuelle a hérité de ce projet enclenché par la mandature précédente. Elle met tout en œuvre pour en réduire considérablement l’impact pour notre ville. La philosophie mise en avant va à l’encontre de la vision mortifère que portaient monsieur Guyard et son équipe.

La municipalité a donc reçu et entendu Ademaj. Lors de leur réunion du 8 décembre 2021, les deux parties se sont accordées sur un délai de 3 mois afin que l’association présente son projet alternatif pour réhabiliter les friches industrielles.

Plus de trois mois après, la maire et ses adjoint(e)s n’ont toujours aucune nouvelle d’Ademaj.

Un silence étonnant. L’association préfère apparemment agiter les réseaux sociaux et appelle à une manifestation relayée par la presse.

Madame la maire s’en est donc étonnée auprès de l’association dans un courrier daté du 22 mars que vous trouverez ci-dessous. Ademaj préfère la presse plutôt que de rencontrer l’équipe municipale.

« Je ne peux que regretter ces initiatives qui, nécessairement, fragilisent les démarches partenariales que vous appelez de vos vœux », écrit la maire dans son courrier. Mais Séverine Félix-Boron assure qu’elle et son équipe sauront « intégrer les solutions pertinentes » qu’Ademaj apportera en prenant en compte « les contraintes juridiques et financières ».

Reste donc à Ademaj d’aller au bout de sa démarche et de présenter son projet alternatif. S’il existe…

Election présidentielle : voter par procuration

L’élection présidentielle se déroulera les dimanches 10 et 24 avril 2022.

Si vous êtes absent ce jour-là ou si vous ne pouvez pas vous déplacer pour aller voter, vous pouvez participer au scrutin en votant par procuration.

Il est encore temps de faire la démarche.

Où faire la démarche ?

Pour donner procuration, l’électeur doit se présenter :

  • dans un commissariat de police (où qu’il soit),
  • ou une gendarmerie (où qu’elle soit),
  • ou au tribunal dont dépend son domicile
  • ou au tribunal dont dépend son lieu de travail.

A qui donner votre procuration ?

Vous pouvez donner procuration à la personne de votre choix. 

A noter que depuis le 1er janvier 2022, vous pouvez donner procuration à un électeur inscrit sur la liste électorale d’une autre commune que la vôtre.

Le mandataire devra cependant toujours se rendre dans le bureau de vote du mandant pour voter à sa place.

Comment faire la démarche ?

L’électeur qui donne procuration doit remplir un formulaire.

Il peut choisir :

  • soit d’utiliser le formulaire disponible sur internet : il faut le remplir et l’imprimer, puis le remettre en personne à la gendarmerie, au commissariat ou au tribunal,
  • soit de remplir à la main le formulaire papier disponible à la gendarmerie, à la police ou au tribunal.

RPA Infos spécial Bords de Seine

Le projet de réaménagement des Bords de Seine suscite des interrogations, parfois des inquiétudes, mais aussi beaucoup de rumeurs et de désinformations.

Dans ce numéro spécial de RPA Infos, nous faisons le point sur ce dossier. De l’historique des friches au projet actuel, nous vous livrons notre réflexion et nos préconisations, tout en rappelant le lourd héritage laissé par l’ancienne municipalité et en dénouant les fausses informations.

C’est notre contribution au débat pour nous projeter, ensemble, vers l’avenir de notre commune.

Ukraine : la solidarité s’organise

En Ukraine, la guerre déclarée par le Russie a déjà des conséquences humanitaires dramatiques. Le Haut-commissariat de l’ONU pour les réfugiés estime à plus d’un 1,5 million de réfugiés ukrainiens qui ont fui l’Ukraine pour les pays voisins.

Face à la catastrophe humanitaire que les ONG constatent déjà, la mobilisation de la communauté internationale est primordiale.

C’est pourquoi la Communauté d’Agglomération Melun-Val-de-Seine (CAMVS) et les communes du territoire se mobilisent pour une collecte solidaire.

Elles font appel à vous pour des dons de matériels ou des dons financiers.

L’aide de bénévoles est également nécessaire, de même que des offres d’hébergement pour accueillir les Ukrainiens venus trouver refuge en France.

Nous vous relayons ici l’appel de la CAMVS et de la municipalité de Saint-Fargeau-Ponthierry.

DONS MATÉRIELS

Deux centres de dépôt et de tri pour accueillir les dons matériels ont d’ores et déjà été identifiés sur le territoire de l’agglomération :

À Saint-Fargeau-Ponthierry

Dans l’accueil de la Mairie (85, Avenue de Fontainebleau – 01 60 65 20 20) selon ces horaires d’ouverture :

Lundi, jeudi, vendredi : 8h30-12h00 / 13h30-17h00 Mardi : 13h30-17h00

Mercredi : 8h30 / 17h00 (en continu)

Permanence du Guichet unique le samedi, de 9h à 12h

À Melun

Au gymnase Joannes Raymond (50, Avenue Georges Pompidou – 01 64 09 26 26) dès mercredi 9 mars à partir de 8 heures 30. Les associations humanitaires qui se joignent à ce mouvement de solidarité seront présentes dans le gymnase afin de recueillir les dons, soutenues par des agents de la Ville.

Une liste limitative de matériel utile sera dressée et régulièrement mise à jour en fonction des besoins sur place.


Pour l’heure, il est demandé de donner en priorité :

  • Des chargeurs de téléphone et des batteries externes
  • Des piles, des talkies-walkies, des lampes de poche
  • Des produits bébés : couches, lait maternisé, lingettes, petits pots, tétines emballées, biberons avec tétine
  • Des produits d’hygiène : brosses à dents enfants et adultes, dentifrice, savons, shampoings, protections périodiques, mousse à raser, rasoirs, mouchoirs en papier, papier toilette
  • Des produits alimentaires : chocolat en poudre, café lyophilisé, lait en poudre, barres de céréales, sucre, produits non périssables (conserves, compote), chocolat, biscuits, boissons énergétiques
  • Du matériel scolaire : crayons de couleurs, gommes, cahiers, coloriages.

Pour Melun, comme pour Saint-Fargeau-Ponthierry, les dons triés seront ensuite transportés jusqu’au pôle aéronautique de Villaroche, au nord de l’agglomération, où un hangar a été mis à disposition de la société JPB Système par le SYMPAV pour centraliser le départ du matériel vers la frontière polono-ukrainienne.

DONS FINANCIERS

La Communauté d’Agglomération Melun-Val-de-Seine et les communes appellent chaque habitant du territoire qui le souhaite et qui le peut à effectuer un don financier aux différentes associations reconnues qui se mobilisent en France comme en Ukraine pour venir en aide à la population qui fuit la guerre.

Les CCAS de chaque commune sont également habilités à recevoir des dons qui ouvrent aussi droit à des déductions fiscales. Ces dons seront ensuite intégralement reversés aux associations compétentes ou convertis en matériel utile.

BÉNÉVOLES

La Communauté d’Agglomération Melun-Val-de-Seine et les communes lancent un appel aux bénévoles qui souhaiteraient aider les communes et les associations à procéder au tri et empaquetage des dons matériels reçus.

Pour la Ville de Melun, le service Vie Associative centralisera les propositions de service afin de les répartir auprès des associations. Le service est joignable au 01 64 52 11 57.

HÉBERGEMENT

Un très grand nombre de réfugiés ukrainiens se lancent sur les routes et seront bientôt en Europe de l’Ouest.

La France, comme les autres pays de l’Union européenne, devront prendre part à cette solidarité.

Aussi, les communes de l’agglomération seront invitées par le préfet de Seine-et-Marne à mettre en place une procédure coordonnée d’hébergement.

Election présidentielle : êtes-vous inscrits sur les listes électorales ?

Pour pouvoir voter à la prochaine élection présidentielle, ainsi qu’aux élections législatives, il y a un impératif : être inscrit sur les listes électorales. 

Aujourd’hui, sept millions de Françaises et de Français ne sont pas inscrits ou inscrites. Parfois, ils ou elles le sont, mais pas correctement ou au mauvais endroit par rapport au domicile. C’est peut-être votre cas. 

Il est encore temps de vous inscrire. La date limite est le 4 mars.

Pour vérifier si vous êtes bien inscrit ou inscrite, vous pouvez interroger votre situation électorale en renseignant tout votre état civil (bien mettre tous vos prénoms) et la commune où vous pensez être inscrit(e)s.

Pour vous inscrire, vous pouvez le faire en ligne

Munissez-vous d’un justificatif de domicile de moins de 3 mois et d’un justificatif d’identité.

Vous pouvez également aller en mairie munis des mêmes justificatifs, ainsi que d’un Formulaire cerfa n°12669 (aussi disponible en mairie)

Vous pouvez aussi faire faire la démarche par un tiers personne. Il lui faudra en plus un document écrit et signé attestant que vous lui confiez ce pouvoir

Vous pouvez encore faire la démarche par courrier en envoyant vos documents à votre commune de résidence.  

La mairie doit recevoir votre courrier au plus tard le 31 mars 2022.

Pour tout savoir : les élections en France

  • L’élection présidentielle aura lieu les 10 et 24 avril 2022.
  • Les élections législatives auront lieu les 12 et 19 juin 2022.

La fabrique des pandémies

Nous vous partageons ce projet de la réalisatrice Marie-Dominique Robin.

La documentariste, auteure notamment de « Le monde selon Monsanto » ou de « Sacré croissance », termine actuellement le tournage de « La fabrique des pandémies », son dernier documentaire.

Dans ce film, tiré de son livre paru l’année dernière « La fabrique des pandémies : préserver la biodiversité, un impératif pour la santé planétaire », Marie-Dominique Robin fait le constat que la pandémie prouve que la destruction des écosystèmes et la globalisation menacent directement la santé planétaire.

Depuis les années 2000, 70% des maladies émergentes, Sras, Ebola ou Covid-19, sont des zoonoses, des maladies transmises par des animaux aux humains.

Pour un nombre croissant de scientifiques, cette « épidémie de pandémies » est causée par les activités humaines, qui précipitent l’effondrement de la biodiversité. Pour les spécialistes qui étudient ces virus, c’est la fragilisation des milieux sauvages qui crée les conditions d’émergence des zoonoses.

Face à cette menace, une réponse : « une conception globale de la santé à l’interface hommes-animaux-écosystèmes, qui met en cause la place des humains sur la planète et notre économie reposant sur l’exploitation irraisonnée des ressources naturelles et la globalisation effrénée des échanges ».

De l’Asie à l’Afrique en passant par les Amériques, le film montre comment la déforestation, l’extension des monocultures et de l’élevage industriel, mais aussi le dérèglement climatique, favorisent la propagation de nouveaux agents pathogènes.

Une vingtaine de scientifiques issus des cinq continents offrent leur vision d’ensemble de l’action à engager au niveau local, national et international. Leur constat est sans appel : « Si nous ne nous attaquons pas aux causes des « nouvelles pestes », les alertes aux pandémies prendront le pouvoir sur nos vies et le coût – financier, humain et écologique – sera colossal. »

Afin de pouvoir terminer son documentaire, Marie-Dominique Robin cherche des souscripteurs afin de boucler son budget. Pour que ce film puisse voir le jour, elle vous invite à devenir souscripteur.

Rendez-vous sur le site dédié à La fabrique des pandémies,

Ou sur les pages Facebook du film ou de la réalisatrice

A voir également le soutien apporté par la comédienne Juliette Binoche qui participe au documentaire.

© Fabrique des pandémies
1 2 3 4 5 51