Vendredi 22 janvier, 9h30…. Le nouveau propriétaire de la mairie affiche le permis de démolition et de construction, délivré le 14 janvier par le maire.
Un nouveau coup de force. Les riverains apprécieront !
Et bizarrement, le panneau avait disparu dans l’après-midi… La proximité des vœux était-elle gênante ?
Les Féréopontains se sont encore déplacés en nombre le jeudi 14 janvier à la 3ème réunion publique des élus minoritaires.
Objectif : s’informer, débattre et échanger sur le déménagement de la mairie et ses conséquences, l’urbanisation de l’entrée de ville et du centre ville.
Beaucoup de questions et d’inquiétudes face à un projet mené dans la précipitation et la plus grande opacité.
Les habitants ont clairement affirmé leur volonté d’être mieux informé par la municipalité et consulté sur ce dossier qui modifiera profondément le visage de notre commune et fragilisera lourdement ses finances.
Mais le débat démocratique ferait-il peur au maire ?
La COP21 vient de s’achever. Au terme de 12 jours de travaux et 4 ans négociations, les 195 pays plus l’Europe sont parvenus à un accord de bon augure pour l’avenir de la planète.
Si le texte parait pas assez contraignant pour certaines ONG, tout le monde s’accorde pour souligner la volonté affichée de la communauté internationale de limiter la hausse de la température moyenne du globe «bien en deçà de 2°C» et à «poursuivre les efforts pour limiter la hausse de la température à 1,5°C».
Au delà ce la conférence, c’est au citoyen de prendre sa part à la lutte contre le réchauffement climatique. Encore faut-il être informé des enjeux et avoir connaissance des alternatives applicables localement.
C’était tout l’enjeu du Forum « Climat, tous acteurs » organisé par RPA le samedi 28 novembre 2015.
Une centaine de personnes sont venus déambuler au milieu des stands d’informations, comprendre les enjeux de la COP21, évaluer son empreinte écologique et débattre des solutions à mettre en œuvre individuellement et collectivement. Les enfants ont pu également appréhender les bonnes pratiques à s’approprier pour protéger la planète au quotidien, à travers le jeu « L’Equilibro » qui explore les liens entre l’eau et le climat.
La conférence, très pédagogique, de Claude Dérognat a séduit le public, et Jacques Exbalin, avec verve et humour a animé le débat citoyen.
Cet Forum, trop court pour beaucoup de participants, a pu en tous cas contribuer au débat, à l’information et à une sensibilisation à la préservation de la planète.
D’autres débats et propositions d’actions seront sans doute nécessaire pour impliquer le plus grand nombre.
Le 1er janvier 2016, Saint-Fargeau-Ponthierry et Pringy feront leur entrée au sein de la Communauté d’Agglomération Melun-Val-de-Seine.
La Communauté de Commune Seine-Ecole aura vécue et nos deux communes seront dorénavant soumises au régime décrété à l’Agglo.
Cette entrée ne comporte pas que des inconvénients. Lors de notre première réunion, le 25 septembre, les débats ont pu faire apparaitre quelques avancées. Mais de nombreux points restaient flous.
Les élus minoritaires de Saint-Fargeau-Ponthierry et Pringy ont donc organisé une seconde réunion publique, le vendredi 6 novembre, pour détailler les contours de cette nouvelle agglomération.
Malgré le présentation idyllique faite par les deux municipalité, lors de leurs réunion publiques ou dans leurs journaux municipaux, tout ne sera pas si rose. Sur de nombreux domaines, Féréopontains et Pringiaciens pâtiront de cette intégration.
Pour vous permettre de revivre les échanges de cette soirée, et bénéficier des informations dévoilées à cette occasion, voici la vidéo des débats.
Services publics, cadre de vie, urbanisme, fiscalité, sécurité… Un décryptage utile et bienvenu.
Faites-vous une idée.
Nous restons à votre écoute pour toute information complémentaire.
Les élus d’opposition de Saint-Fargeau-Ponthierry et Pringy ont pris l’initiative d’organiser des réunions publiques sur l’entrée des deux communes au sein de l’Agglomération Melun-Val-de-Seine.
Depuis, la municipalité de Saint-Fargeau-Ponthierry a annoncé la tenue d’une réunion publique le même jour, à la même heure, sur le même thème.
Malgré ce contretemps, les élus d’opposition de Saint-Fargeau-Ponthierry et Pringy maintiennent leur réunion publique.
Voici leur communiqué.
Entrée dans l’Agglo : Le débat démocratique mis à mal
Il y a tout juste un mois, nous avions annoncé la tenue de notre deuxième réunion publique sur l’entrée dans l’Agglo de Melun. Elle était prévue pour le 6 novembre. A l’ordre du jour : relayer les conclusions de la négociation présentées le 14 octobre par le Président de la CAMVS (Communauté d’Agglomération Melun-Val-de-Seine) aux élus des 16 communes concernées et poursuivre le dialogue avec les habitants de nos communes.
Dès le Conseil Municipal du 22 juin, nous avions demandé au maire de Saint-Fargeau-Ponthierry d’organiser au plus vite une réunion publique sur les enjeux de cette entrée dans l’Agglo, afin d’informer les habitants et de débattre avec eux.
Cette idée a été balayée ! La transparence démocratique n’était pas une priorité.
Le 25 septembre a donc eu lieu notre première réunion publique devant 120 personnes ! Forts des débats et des questionnements nés lors de cette soirée, l’initiative d’une deuxième réunion a été annoncée le soir même. Et la date choisie : le 6 novembre.
La salle nous a été accordée le 15 octobre, l’information a été communiquée aux médias et publiée sur les réseaux sociaux, les affiches collées en ville, et les flyers imprimés.
Mais ce 27 octobre, à 10 jours de l’évènement, par lettre spéciale du maire de Saint-Fargeau-Ponthierry distribuée dans toutes les boîtes à lettres de la commune, l’ensemble des habitants était invité à une réunion publique le…. vendredi 6 novembre soit le même jour, à la même heure et … sur le même sujet, que la réunion programmée par les élus minoritaires il y a un mois !
Dans le même temps, nos affiches ont été arrachées ! Quel respect pour le droit d’expression ! Cette coïncidence malheureuse de date met en évidence le manque de respect de la municipalité pour ses administrés, contraints ainsi de sacrifier une réunion au profit de l’autre.
Si nous déplorons la méthode et le calendrier, nous sommes heureux d’avoir obligé la municipalité de Saint-Fargeau-Ponthierry à son devoir d’information.
Toutefois, par fidélité à nos engagements, nous maintenons notre réunion publique, par respect pour les Féréopontains et les Pringiaciens.
Les difficultés liées à la réservation d’une salle pour une nouvelle date ne nous permettent pas de contourner cet épisode anti-démocratique.
Nous poursuivons donc notre démarche d’information et de débat contradictoire. Le sujet est d’importance et ne peut être réduit à une simple présentation officielle et balisée. L’expression de la municipalité et celle de son opposition sont nécessaires.
Les conséquences de l’intégration de nos communes dans l’Agglomération Melun-Val-de-Seine doivent être décortiquées et débattues en toute transparence. Nous le ferons en nous appuyant sur les mêmes documents officiels que ceux de la municipalité. Nous échangerons nos interrogations et partagerons nos analyses, en évitant toute polémique inutile.
Nous ferons en sorte que le débat démocratique puisse vivre : en terme de fiscalité, de finances, de sécurité … en terme de services publics, qu’allons-nous perdre et que risquons-nous de gagner dans l’intégration de notre commune à Melun-Val-de-Seine ?
Echangeons une nouvelle fois, ensemble !
Rendez-vous donc le vendredi 6 novembre, à 20h, salle de l’Odyssée, à Saint-Fargeau-Ponthierry.
Les Elus d’opposition de Saint-Fargeau-Ponthierry et de Pringy
Annonce le 25 septembre 2015 de la 2nde réunion publique sur l’intégration à la CAMVS
Dans trois mois, nos deux communes, Saint-Fargeau-Ponthierry et Pringy, auront rejoint le giron de l’Agglomération Melun-Val-de-Seine.
Mais quelle sera leur identité dans ce grand ensemble ? Quel poids pèseront-elles ? Quelle marge d’autonomie conserveront-elles ? Quels bénéfices et quels désavantages pour les Féropontains et les Pringiaciens ?
La dissolution de la Communauté de Communes Seine-Ecole, l’imminence de l’absorption de nos deux communes par la Communauté d’Agglomération Melun-Val-de-Seine et le silence des deux municipalités ont conduit les élus de l’opposition de Saint-Fargeau-Ponthierry et Pringy à organiser, le vendredi 25 septembre, une réunion publique pour informer les habitants des deux communes sur les enjeux de ce bouleversement.
120 personnes sont venus écouter, s’informer, débattre, échanger, sur un sujet qui visiblement suscite un vif intérêt. Les nombreuses interrogations ont montrées que nos concitoyens sont en attente de réponses.
Du district à la Communauté de Communes Seine-Ecole
1974 : Saint-Fargeau-Ponthierry et Pringy s’associent au sein d’un district pour la gestion des équipements, des travaux, de l’aménagement du territoire, de l’eau, de l’assainissement, du développement culturel et sportif.
2001 : création de la Communauté de Communes Seine-Ecole (CSCE), avec en plus la station d’épuration en responsabilité.
De nouvelles compétences apparaissent au fil des années
2003 : la gestion des transports scolaires
2004 : élimination des boues
2005 : petite enfance
2006 : déchets ménagers
2012 : aménagement du numérique.
Le patrimoine immobilier (Base de loisirs), la collecte des ordures ménagères, la maison de la petite enfance, le transport à la demande, ou la police intercommunale font désormais partie des attributions de la CSCE.
La Communauté d’Agglomération Melun-Val-de-Seine (CAMVS)
L’Agglomération regroupe actuellement 14 communes : Boissette, Boissise-la-Bertrand, Boissise-le-Roi, Dammarie-lès-Lys, La Rochette, Le Mée-sur-Seine, Livry-sur-Seine, Melun, Montereau-sur-le-Jard, Rubelles, Saint-Germain-Laxis, Seine-Port, Vaux Le Pénil, Voisenon.
Dans ses compétences figurent les transports urbains, les eaux usées, le SDIS, l’emploi, l’insertion, le numérique, la politique touristique de la ville, la responsabilité de l’équilibre social.
En 2010, la loi incitait au regroupement des communes dans une configuration d’intercommunalité. Trois possibilités de regroupement ont été étudiées. Seul le principe d’un rapprochement de la CCSE avec la CAMVS avait été retenu. Votée à l’unanimité par les deux conseils municipaux, cette fusion a été rejetée à l’époque par l’Agglomération de Melun.
Aujourd’hui, un rapprochement inévitable, mais…
En 2014, la loi MAPTAM, (Modernisation de l’Action Publique Territoriale et d’Affirmation des métropoles) impose un regroupement obligatoire sur une taille d’Agglomération d’au moins 200.000 habitants.
Deux possibilités s’offraient aux élus :
La fusiondes intercommunalités (CCSE et CAMVS) qui garantit l’égalité de traitement des communes quelle que soit leur taille. Dans ce cas, la loi NOTRe (Nouvelle Organisation Territoriale de la République) du 7 août 2015 offre un temps de réflexion de deux ans supplémentaires pour organiser la fusion et permettre le réexamen des compétences transférées à la CAMVS et celles conservées localement.
L’extension du périmètre de la CAMVS, commune par commune, qui implique la dissolution de la Communauté de Communes Seine-Ecole, à ce jour pas encore votée, et l’entrée dans l’agglomération melunaise dès le 1er janvier 2016, commune par commune.
C’est cette deuxième option qui a été choisie par les élus majoritaire de la CCSE.
Le principe de fusion mettait à égalité les communes qui l’intégraient. Le choix de l’extension de périmètre oblige à précipiter les négociations pour l’entrée de nos communes dans l’Agglomération et crée un déséquilibre. Face aux 14 autres communes, la marge de manœuvre de Saint-Fargeau-Ponthierry et Pringy reste donc faible.
Quid de la Maison de la Petite Enfance ? De la Base de Loisirs Seine-Ecole ? De la Police intercommunale ? Des choix d’urbanisme ? Des personnels intercommunaux ? Des aides aux collégiens ? De la politique économique ? Des taux d’impositions ?
Des impôts en augmentation pour la part intercommunale ?
L’état des finances de la CAMVS est tel qu’en mars 2015, la décision a été prise d’une augmentation des impôts deux années de suite.
Si l’on compare les taux d’impositions des deux intercommunalités, des inquiétudes légitimes peuvent naître.
CC Seine-Ecole
CA Melun-Val-de-Seine
Taxe habitation
4.67 %
8.04 %
Taxe foncière
4.19 %
0.18 %
Exemple pour un propriétaire d’une maison / Taxe Foncière + Taxe d’Habitation (part intercommunale pour chacune):
Actuellement 633€ sur la CCSE. Demain, 754€ sur l’Agglo.
Soit 121€ d’augmentation !
Exemple pour un locataire / Taxe d’Habitation (part intercommunale) :
437€ sur la CCSE / 738€ sur la CAMVS.
Soit 301€ d’augmentation !
Des recettes en moins, des charges en plus pour la commune ?
Les recettes liées à la Contribution Economique Territoriale (ex Taxe Professionnelle), touchées par la Commune, vont être transférées à la CAMVS. Soit 1 Million d’euros pour Saint-Fargeau-Ponthierry.
La CAMVS en reverse une part aux communes. Mais là encore, rien de négocié.
Dans le même temps, certaines charges resteront de la compétence de la ville, comme la politique de la jeunesse, la police, ou la Maison de la Petite Enfance. Soit environ 900.000€ à la charge de la commune.
Aménagement du territoire ?
L‘aménagement du territoire actuel se fait par l’intermédiaire du Plan local d’Urbanisme (PLU). Il deviendra intercommunal à travers le PLUI (Plan local d’Urbanisme Intercommunal), chaque ville gardant la gestion des permis de construire.
Le foncier disponible sur Saint-Fargeau-Ponthierry ou sur Pringy, pourrait servir à la construction de logements supplémentaires, pour répondre aux exigences du PLUI. La plaine de Tilly, par exemple, pourrait être concernée.
Parmi les décisions déjà annoncées, le doublement de l’aire d’accueil des gens du voyage, pour prendre ce que ne veut pas ou ne peut pas accueillir Dammarie-lès-Lys.
L’idée d’un nouveau pont sur la Seine est dans l’air. Y-a-t-il un lien avec l’urbanisation attendue sur la plaine de Tilly ?
Gouvernance de l’Agglomération : un problème démocratique ?
Au niveau de la représentation de chaque commune, le déséquilibre restera important.
La représentation des élus se fera, dans la future Agglomération, selon le poids démographique et donc renforcera le rôle des grosses communes. Pringy, par exemple, n’aura qu’un délégué. De son coté, Saint-Fargeau-Ponthierry devrait avoir 6 ou 7 sièges.
En ce qui concerne les minorités municipales, tout semble fait pour qu’elles soient absentes de la gouvernance de l’Agglo. Aucun élu minoritaire n’y siégerait.
Ce qui pose un grave problème de représentativité dans une démocratie.
Des aspects positifs, même si rien n’est sûr :
L’entrée dans l’Agglomération permettrait notamment de bénéficier du réseau de bus Melibus. La politique économique devrait aussi être bénéfique pour les entreprises, la CAMVS donnant une aide plus importante.
Mais tout dépendra des négociations en cours sur chacun des points. A ce jour aucune informations officielles malgré la proximité de l’échéance !
D’autres questions au fil de la soirée :
Deux communes ? Une seule ?
La question de la fusion des deux communes est dans les tuyaux. La loi permet la création d’une commune nouvelle. Et celle-ci garderait le même niveau de dotation de la part de l’Etat et ce pendant 3 ans si ce regroupement intervient avant fin décembre 2015. Cette fusion de Saint-Fargeau-Ponthierry et Pringy pourrait aboutir assez rapidement.
Comment la fibre optique va se répartir ?
La CAMVS a confié ce dossier à une entreprise privée. L’Agglo aurait accepté de prendre le numérique en charge sur notre territoire.
Quid des associations qui vont sur la Base de Loisirs ?
La gestion relèverait de l’Agglo, mais la commune en garderait la propriété. Les associations utilisant les équipements pourraient continuer à le faire presque dans les mêmes conditions. Une participation financière pourrait être demandée.
Culture : Quid des 26 Couleurs ?
Une harmonisation des programmations est prévue entre les cinémas de Melun, Vaux le Pénil et Saint-Fargeau-Ponthierry.
Scolaire : quid de l’aide de la CCSE à la carte Imangin’R et aux voyages scolaires du collège ?
Ce n’est pas dans les discussions. Il n’y aurait aucune prise en charge par l’Agglo.
L’Agglo et le PNR (Parc Naturel Régional du Gâtinais) :
La possibilité de quitter le PNR aurait été évoquée lors d’une réunion du maire avec les agriculteurs. A noter que Dammarie-les-Lys et Boissise-le-Roi ont quitté le PNR il y a 6 ans.
Le risque d’urbanisation de la plaine de Tilly :
L’enquête publique a été reportée au printemps 2016.
La plaine de Tilly serait une zone d’intérêt communautaire, et serait alors gérée par l’Agglo.
Echéance
Le 30 novembre, les négociations seront terminées.
Pour continuer le débat et l’information des habitants,
les élus minoritaires de Pringy et Saint-Fargeau-Ponthierry vous proposent une nouvelle réunion publique
le vendredi 6 novembre 2015, à 20h, salle de l’Odyssée à Ponthierry.
Dans quels cas dois-je m’inscrire ou me réinscrire sur les listes électorales ?
Si vous avez déménagé
Dans une autre commune : vous devez effectuer une démarche d’inscription sur les listes électorales de votre nouvelle commune.
Au sein de votre commune : vous devez informer la mairie qui vous réinscrira si nécessaire dans un autre bureau de vote.
Si vous allez avoir 18 ans au plus tard la veille des élections régionales.
Vous serez inscrit(e) d’office sur les listes électorales de votre commune, sous réserve toutefois d’avoir été recensé(e) auprès de votre mairie en vue de la journée défense et citoyenneté.
Vous n’avez donc pas de démarches particulières à effectuer auprès de votre mairie.
À défaut ou en cas de changement d’adresse depuis votre recensement, vous devez faire une démarche volontaire d’inscription auprès de votre commune.
Si vous n’avez pas reçu de courrier de votre mairie vous informant de votre inscription d’office et si votre nom ne figure pas sur le tableau des nouvelles inscriptions affichées le 6 octobre 2015 en mairie, vous avez 10 jours pour saisir le tribunal d’instance de votre lieu de domicile et demander votre inscription.
Si vous résidez ailleurs qu’à votre domicile familial (par exemple parce que vous étudiez dans une autre ville), vous pouvez demander à être inscrit(e) sur la liste de la commune de ce lieu de résidence, à condition d’y séjourner de manière continue depuis plus de 6 mois.